AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de Tandarica


Frédéric et Horace sont jumeaux et tous les deux amoureux de la même Diana Messerschmann, qui est très riche. Si Frédéric est un amoureux transi, Horace est plus froid et distant, ou plutôt plus coureur. Lady India, cousine des Desmermortes a une liaison avec Patrice Bombelles, le secrétaire de Messerschmann père. Madame Desmermortes a invité tout ce beau monde dans son château. Lady India essaye également de ruiner Messerschmann par la dépense, ce qui s'avère impossible. Horace corrompt Isabelle, une jeune et belle danseuse, pour le bal, afin qu'elle séduise Frédéric. Horace va jusqu'à l'embrasser pour rendre Frédéric jaloux. Il rend Diana jalouse aussi. Elle se bat avec Isabelle et la renvoie. Frédéric en est outré et renonce à elle au profit d'Isabelle. On reçoit des télégrammes sur la ruine de Messerschmann : par conséquent, Lady India l'aime à nouveau et Diana peut aimer Horace. Tout est bien qui finit bien.
Une pièce optimiste, rien à voir avec «Antigone» pour le dénouement. On retrouve les ressorts apparents, la mise en abyme (les personnages disent à la fin que tout doit bien finir). L'effet comique vient du paradoxe sur les valeurs : l'utilisation de la jalousie, l'ironie sur l'argent, considéré comme un fardeau, mais pas sérieusement bien entendu, car dès qu'il est parti, il faut le récupérer, d'ailleurs, on n'a fait que semblant de le perdre.
Commenter  J’apprécie          140



Ont apprécié cette critique (11)voir plus




{* *}