Dans
La bibliothèque des rêves secrets, le précédent roman de
Michiko Aoyama, les livres avaient des vertus quasi thérapeutiques et les histoires étaient reliées entre elle par la pittoresque madame Komachi, une bibliothécaire hors du commun.
Un jeudi saveur chocolat m'a paru bien terne, les personnages sont fantomatiques, la narration décousue. Une déception...
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