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Critique de EmyB
Nous sommes quelques mois avant la percée de l'Armée Rouge à l'est, de la déroute allemande. Mais nous sommes surtout à l'heure des rafles dans les ghettos, les parents d'enfants juifs décident de les préserver des griffes de l'armée Allemande. C'est le cas pour Adam et Thomas, que leurs mères vont cacher dans la forêt avec des vivres en leur promettant de revenir les chercher dès la fin de la guerre.
J'ai eu la même perception sur l'oeuvre qu'un lecteur de Babelio. En toile de fond se dessine la Seconde Guerre Mondiale, les déportations en camps. Mais à l'instar de "la Balade de Yaya", le roman est un conte et la guerre n'est pas visible pour les enfants à de rares exceptions. En effet, ils savent que la guerre et leur judaïsme est responsable de leurs conditions mais au-delà du fait histoire, Thomas pense être puni. A t-il fait quelques ignominies pour être privé ainsi de la présence de ses parents?
On retrouve les mêmes motifs qu'un conte traditionnel. Il n'est pas s'en rappeler le Petit Poucet, que les parents vont abandonner, lui et ses six frères, dans la forêt - la famine fait rage-.
Les deux héros vont aussi avoir leur loup: les Allemands mais surtout la peur de l'inconnu, le sentiment d'abandon et la peur de mourir de faim et de froid. A l'instar d'un conte, les personnages bienfaiteurs comme une fée, un chevalier servant sont présents dans le roman: la petite Mina et Serguei qui leur rapporteront à manger, Miro qui leur donnera la joie nécessaire pour survivre.
Les deux héros que le tragique a unit sont différents mais complémentaires et combien tolérants l'un envers l'autre. L'un a été élevé dans une famille traditionnel où la place de Dieu est dans chaque actes de l'homme, au contraire de l'autre qui pense de part son éducation que la bonté de l'homme résulte en lui-même.
En clair, une oeuvre forte à la porté des lecteurs d'une dizaine d'année. Un roman dynamique et vif.
J'ai eu la même perception sur l'oeuvre qu'un lecteur de Babelio. En toile de fond se dessine la Seconde Guerre Mondiale, les déportations en camps. Mais à l'instar de "la Balade de Yaya", le roman est un conte et la guerre n'est pas visible pour les enfants à de rares exceptions. En effet, ils savent que la guerre et leur judaïsme est responsable de leurs conditions mais au-delà du fait histoire, Thomas pense être puni. A t-il fait quelques ignominies pour être privé ainsi de la présence de ses parents?
On retrouve les mêmes motifs qu'un conte traditionnel. Il n'est pas s'en rappeler le Petit Poucet, que les parents vont abandonner, lui et ses six frères, dans la forêt - la famine fait rage-.
Les deux héros vont aussi avoir leur loup: les Allemands mais surtout la peur de l'inconnu, le sentiment d'abandon et la peur de mourir de faim et de froid. A l'instar d'un conte, les personnages bienfaiteurs comme une fée, un chevalier servant sont présents dans le roman: la petite Mina et Serguei qui leur rapporteront à manger, Miro qui leur donnera la joie nécessaire pour survivre.
Les deux héros que le tragique a unit sont différents mais complémentaires et combien tolérants l'un envers l'autre. L'un a été élevé dans une famille traditionnel où la place de Dieu est dans chaque actes de l'homme, au contraire de l'autre qui pense de part son éducation que la bonté de l'homme résulte en lui-même.
En clair, une oeuvre forte à la porté des lecteurs d'une dizaine d'année. Un roman dynamique et vif.
