C'est
Valérie ZENATTI et "
Dans le faisceau des vivants" qui m'a amené à
Aharon Appelfeld.
Bruno à la poursuite de son histoire, à la recherche de son identité, revient à son enfance en Europe centrale, aux ballotements de l'histoire. Et puis il décide de choisir sa vie, de lui donner un but, son château symbolique pour accueillir tous les anciens déportés.
Que reste-t-il après le néant, le désastre, la disparition?
j'ai beaucoup aimé l'écriture d'Appelfeld.
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