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Critique de MarionJL
L'histoire se situe dans un Japon moderne dystopique, où une guerre civile larvée oppose le comité d'amélioration des médias, un organe du gouvernement central qui s'adonne à la censure de tous les médias et les bibliothèques, dépendante des instances régionales et ayant le droit de s'opposer à la censure et de “protéger” les livres de la destruction. Nos héros sont des bibliothécaires, plutôt des militaires d'ailleurs, protégeant les livres en livrant des batailles et apprenant aussi la gestion documentaire plus “classique”.
Dans ce second tome des aventures d'Iku, on continue de suivre le quotidien des différents protagonistes et de découvrir leur monde: venue des parents d'Iku, auditions “illégales” du lieutenant Komaki par le comité d'Amélioration, blog de dénigrement, affaires des autodafés et auditions d'Iku, choix des bibliothécaires sur l'accès ou nom de documents censurés...
Les chapitres se lisent vraiment comme des mangas ou des romans feuilletons: chaque chapitre a une unité propre et même si les personnages évoluent, on n'a pas vraiment d'intrigue globale. Chaque chapitre nous fait plonger dans un dilemme différent pour l'héroïne. On ressent bien l'atmosphère japonaise dans ces bouquins avec l'importance de la hiérarchie, de la convenance, les diktats sociaux pour les hommes ou les femmes…
on appréhende ainsi mieux le fonctionnement des bibliothèques avec la faction des intègres et des administratifs au sein du corps des bibliothécaires. On découvre aussi l'organisation nationale des bibliothèques ainsi que différents groupes de réflexion avec la famille de Tezuka.
J'aime un peu moins ce tome car l'affaire autour de Komaki et Marié me semble vraiment peu cohérente mais j'aime beaucoup plonger dans ce monde étonnant.
Dans ce second tome des aventures d'Iku, on continue de suivre le quotidien des différents protagonistes et de découvrir leur monde: venue des parents d'Iku, auditions “illégales” du lieutenant Komaki par le comité d'Amélioration, blog de dénigrement, affaires des autodafés et auditions d'Iku, choix des bibliothécaires sur l'accès ou nom de documents censurés...
Les chapitres se lisent vraiment comme des mangas ou des romans feuilletons: chaque chapitre a une unité propre et même si les personnages évoluent, on n'a pas vraiment d'intrigue globale. Chaque chapitre nous fait plonger dans un dilemme différent pour l'héroïne. On ressent bien l'atmosphère japonaise dans ces bouquins avec l'importance de la hiérarchie, de la convenance, les diktats sociaux pour les hommes ou les femmes…
on appréhende ainsi mieux le fonctionnement des bibliothèques avec la faction des intègres et des administratifs au sein du corps des bibliothécaires. On découvre aussi l'organisation nationale des bibliothèques ainsi que différents groupes de réflexion avec la famille de Tezuka.
J'aime un peu moins ce tome car l'affaire autour de Komaki et Marié me semble vraiment peu cohérente mais j'aime beaucoup plonger dans ce monde étonnant.
