— J’étais prêt à voir le monde s'embraser tant que j'étais avec toi pour le regarder.
— Rien dans ce monde ou le monde d'en bas ne pourra me séparer de toi. Rien, Layla. C'est une promesse que je te fais et je tiendrai parole.
Je n'avais rien connu de semblable auparavant. C'était parfait, c'était puissant et Roth ne cessait de murmurer ces mots magiques tandis que nos corps se mouvaient. A ce moment-là, il n'était plus le grand-duc de l'enfer et je n'étais plus... ce que j'étais. Nous n'étions plus que deux êtres épris l'un de l'autre et notre amour était tout.
— Tu es si belle, Layla. Si je devais choisir un trésor à contempler jusqu'à la fin des temps, ce serait toi.
Si cette épreuve m'avait appris quelque chose, c'est qu'il fallait profiter de la vie - de tout ce qu'elle avait à offrir : la colère, le deuil et les larmes, mais avant tout les rires et l'amour.
Juste profiter de la vie.
Parce qu'elle était éphémère et imprévisible et que personne, ni moi ni quiconque de ma connaissance, ne disposait d'un jour ni même d'une seule seconde qui lui était acquise.
Les mots pouvaient meurtrir aussi profondément que les griffes les plus acérées, et si la peau cicatrisait, les blessures provoquée par des paroles ne s’effaçaient pas aussi rapidement.
Rien dans ce monde ou le monde d’en bas ne pourra me séparer de toi. Rien, Layla. C’est une promesse que je te fais et je tiendrai parole.
Je t’aime Layla. Tu m’entends ? Je t’aime depuis le jour ou j’ai entendu ta voix pour la première fois et je t’aimerai toujours. Quoiqu’il arrive. Je t’aime.
Je t'aime Layla. Je t'aime depuis le jour où j'ai entendu ta voix pour la première fois, et je t'aimerai toujours. Quoi qu'il arrive. Je t'aime.
Les choses ne sont pas noires ou blanches. Vous le savez, mais vous refusez de reconnaître que le gris existe.