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Critique de Khalya
« ne te retourne pas » et un thriller psychologique un peu dans la lignée de « revenir pour mourir » du même auteur.
Mais si dans « revenir pour mourir » j'ai su très vite qui était le tueur (tout en étant frustrée au possible de ne pas avoir l'ombre d'une preuve pour étayer ma conviction), dans « ne te retourne pas » j'ai soupçonné tout le monde, sauf le coupable !
Ce dernier est totalement passé sous mon radar alors qu'un indice de taille était donné dès le début sur ses motivations.
Mais non, je n'ai rien vu venir, ne comprenant l'affaire que quelques secondes avant de la lire noir sur blanc.
J'ai beaucoup aimé Samantha. le fait que son amnésie l'ait faite changer de comportement me laisse à penser que son côté « garce du lycée » n'était pas sa personnalité mais plutôt un rôle qu'elle jouait : par peur d'être mise à l'écart ? Pour satisfaire sa mère (car ce comportement reflète bien plus sa personnalité à elle, que celle de Sam) ?
En parlant de la mère de Sam, on ne peut pas dire que j'ai aimé cette femme, mais elle a quand même réussi à remonter dans mon estime avant la fin du roman.
La plume de l'auteur, comme la traduction, est de qualité et l'intrigue est bien ficelée, distillant des indices dont on ne comprend l'importance qu'après coup.
La romance, bien que présente, ne prend pas le pas sur le suspense.
Les deux s'équilibrent parfaitement.
J'ai lu ce roman d'une traite, ne m'interrompant que pour m'assurer que la porte était bien verrouillée !
Mais si dans « revenir pour mourir » j'ai su très vite qui était le tueur (tout en étant frustrée au possible de ne pas avoir l'ombre d'une preuve pour étayer ma conviction), dans « ne te retourne pas » j'ai soupçonné tout le monde, sauf le coupable !
Ce dernier est totalement passé sous mon radar alors qu'un indice de taille était donné dès le début sur ses motivations.
Mais non, je n'ai rien vu venir, ne comprenant l'affaire que quelques secondes avant de la lire noir sur blanc.
J'ai beaucoup aimé Samantha. le fait que son amnésie l'ait faite changer de comportement me laisse à penser que son côté « garce du lycée » n'était pas sa personnalité mais plutôt un rôle qu'elle jouait : par peur d'être mise à l'écart ? Pour satisfaire sa mère (car ce comportement reflète bien plus sa personnalité à elle, que celle de Sam) ?
En parlant de la mère de Sam, on ne peut pas dire que j'ai aimé cette femme, mais elle a quand même réussi à remonter dans mon estime avant la fin du roman.
La plume de l'auteur, comme la traduction, est de qualité et l'intrigue est bien ficelée, distillant des indices dont on ne comprend l'importance qu'après coup.
La romance, bien que présente, ne prend pas le pas sur le suspense.
Les deux s'équilibrent parfaitement.
J'ai lu ce roman d'une traite, ne m'interrompant que pour m'assurer que la porte était bien verrouillée !
