Riley Jenson, tome 6 : Baiser fatal

Chocolat, café et crème glacée étaient bien plus fiables quand il s'agissait de prendre son pied, et eux, au moins, ne risquaient pas de me décevoir.

- Tu trouves que mon cul est petit ?
- Ma chéries, je trouve qu’il est à croquer, mais c’est toi qui ne veux pas.
- Non, c’est jack qui ne veut pas. C’est lui le rabat-joie.

Le torse etait sur le coffre de la voiture de sport, une expression de pure terreur figée sur son visage. Enfin, ce qu'il en restait.
Cette expression disait que l'homme avait subi un supplice digne des profondeurs de l'enfer au beau milieu d'un des plus grands plaisirs de la vie.

Après tout le destin n’était peut-être pas une pute.

- Les chattes sont des reines. Seules les chiennes sont des garces.

- Recules, tu perturbes mes sens.
- C’est le plus beau compliment qu’une femme m’ait fait depuis longtemps.