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Critique de Celise
Je poursuis mon voyage dans le cycle de Fondation par ce deuxième tome qui ne dément pas les qualités que j'ai déjà trouvées au premier, bien au contraire.
Cela fait maintenant 3 siècles que Seldon a fait ses prédictions grâce à la science de la psychohistoire et que Fondation a été créée. Elle a prospéré tandis que l'Empire s'est enfoncé dans le chaos, comme l'avait prévu Seldon.
Dans cet opus, on va retrouver deux nouvelles qui abordent chacune une crise rencontrée par Fondation. La première, le Général, est heureusement assez courte (un quart environ du livre) et n'apporte pas une grande nouveauté ni beaucoup d'éléments supplémentaires sur l'histoire de Fondation.
En revanche, la deuxième nouvelle, le Mulet, est beaucoup plus intéressante. Plus aboutie, plus originale, elle met en scène un nouveau chef de guerre qui menace Fondation. Mais sa particularité est de ne pas avoir été anticipé dans les plan de Seldon.
J'ai trouvé que dans cette nouvelle, Asimov avait rajouté un peu « d'humain » dans ces personnages : une femme (la première que l'on rencontre depuis le début de la série, on voit bien là qu'Asimov a écrit dans les années 50 !), son époux, des mondes plus développés dans le récit, une intrigue plus étoffée, plus mature, en un mot plus passionnante.
J'ai beaucoup aimé cette orientation et l'évolution que l'auteur semble donner à son oeuvre.
Et donc j'ai hâte de lire la suite !
Cela fait maintenant 3 siècles que Seldon a fait ses prédictions grâce à la science de la psychohistoire et que Fondation a été créée. Elle a prospéré tandis que l'Empire s'est enfoncé dans le chaos, comme l'avait prévu Seldon.
Dans cet opus, on va retrouver deux nouvelles qui abordent chacune une crise rencontrée par Fondation. La première, le Général, est heureusement assez courte (un quart environ du livre) et n'apporte pas une grande nouveauté ni beaucoup d'éléments supplémentaires sur l'histoire de Fondation.
En revanche, la deuxième nouvelle, le Mulet, est beaucoup plus intéressante. Plus aboutie, plus originale, elle met en scène un nouveau chef de guerre qui menace Fondation. Mais sa particularité est de ne pas avoir été anticipé dans les plan de Seldon.
J'ai trouvé que dans cette nouvelle, Asimov avait rajouté un peu « d'humain » dans ces personnages : une femme (la première que l'on rencontre depuis le début de la série, on voit bien là qu'Asimov a écrit dans les années 50 !), son époux, des mondes plus développés dans le récit, une intrigue plus étoffée, plus mature, en un mot plus passionnante.
J'ai beaucoup aimé cette orientation et l'évolution que l'auteur semble donner à son oeuvre.
Et donc j'ai hâte de lire la suite !
