"Personne ne choisit ce métier pour finir accusé de maltraiter son troupeau, dit-il. Ni pour mourir sur un chemin de terre, tué de trois balles."
En général, ceux des Ehpad se trimballent une image de sous-soignants par rapport aux hôpitaux, où se ferait la "vraie" médecine.
Ici comme ailleurs, la drogue a tout bouffé, tout étouffé, tout acheté, y compris la paix sociale. Les "violences urbaines" ont sacrément chuté, le business aime le calme.
C'est normal que les officiels ne comprennent rien : à chaque fois, on monte un décor pour faire croire que tout va bien, dit un fonctionnaire.
" Le virus, on l'a tous eu au moins cinq minutes."
En général, ceux des EHPAD se trimballent une image de sous-soignant par rapport aux hôpitaux, où se ferait la "vraie" médecine.
Il se met à parler de la vidéo d’Abaaoud, évidemment. Les cadavres qu’il traîne ? Non, c'est la voiture qu’il évoque : " Un 4 x 4 Ford ! "
"On montait dans la délinquance, avant de monter dans l’islam, dit quelqu’un. La religion était la conséquence, pas la cause."
À Bruxelles, on est déjà au-delà, on est déjà après, à ce stade où "on connaît les choses avant de les vivre" constate un policier. L’émotion et la douleur, évidemment. La surprise, non. Et c’est cette impression d’inéluctable, peut-être bien plus terrible au fond, qui restera ici la marque des attentats.