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Critique de CyranoGirl
Ça y est, c'est la fin, j'abandonne.
Cela fait maintenant deux semaines que je cale sur ce « livre », et je me dis qu'il serait peut-être temps de jeter l'éponge et de lire un livre qui me plairait vraiment. Je vais arrêter de m'acharner.
Suite à la lecture du premier tome, je m'étais dis que j'allais continuer et voir si l'auteure arrivait enfin à trouver des idées originales (ou si elle allait continuer à pomper les idées des autres). Bon… il n'y a visiblement pas d'idées venant d'elle. Déjà cet aspect-là de cette série de livres m'agace profondément. Je suis moi-même fan d'écriture, je pioche aussi des inspirations à droite à gauche mais je m'empêche quand même (ne serait-ce que par respect aux grands de la littérature) de faire de purs copier-coller d'idées.
Je suis arrivée au milieu de ce deuxième tome et tout ce que je trouve à dire, c'est… Sophie, ça suffit maintenant.
1. L'intrigue laisse à désirer. Je m'explique : dans ce deuxième tome, au début, l'auteure ne nous laisse pas même le temps de nous acclimater aux informations découvertes dans le tome précédent que déjà, beaucoup beaucoup beaucoup d'autres choses se passent. Cela en devient même déroutant pour le lecteur de suivre plic ploc les « héros » de l'histoire d'intrigue en intrigue. Pas un moment de pause pour les personnages, ni pour le lecteur… C'est fatiguant.
2. L'auteur cherche visiblement à amuser le lecteur, mais ne réalise que des flops malaisants. Dans les dialogues, quand on voit un personnage censé être adulte, mature, etc, faire des blagues douteuses voire même « pipi-caca », le lecteur n'y croit pas. Au-delà de cette dimension parfois simpliste ou enfantine de « l'humour Tara Duncan », on retrouve également des réflexions ou des réparties qui sont tout sauf drôles ou pertinentes. On se demande même souvent ce que cela apporte à l'histoire…
3. Les personnages sont incohérents et ne sont pas attachants. Tara est une sale gosse, avouons-le, qui se la joue grosse dure à cuire (sauf que je rappelle : elle a douze ans). Certains des mots employés par cette gamine ne devraient même pas sortir de sa bouche. Elle a douze ans, crénom de nom ! Et ses petits copains, c'est pareil. Mais non, l'auteure veut des enfants prodiges, qui parlent comme des adultes, qui font tout à leur guise, qui ne s'inquiètent pas des conséquences et qui réussissent absolument tout sur leur passage.
Je suis vraiment désolée mais à un moment donné, enough is enough. J'ai vraiment essayé d'accrocher à cette série, et tout ce que j'ai découvert c'est un agacement continu autant face au fond, au contenu de la série que face à l'auteure qui est tout sauf supportable (allez voir ses interviews, grincement de dents garanti).
Cette série va se retrouver, sans regret, dans ma pile de livres à donner.
Cela fait maintenant deux semaines que je cale sur ce « livre », et je me dis qu'il serait peut-être temps de jeter l'éponge et de lire un livre qui me plairait vraiment. Je vais arrêter de m'acharner.
Suite à la lecture du premier tome, je m'étais dis que j'allais continuer et voir si l'auteure arrivait enfin à trouver des idées originales (ou si elle allait continuer à pomper les idées des autres). Bon… il n'y a visiblement pas d'idées venant d'elle. Déjà cet aspect-là de cette série de livres m'agace profondément. Je suis moi-même fan d'écriture, je pioche aussi des inspirations à droite à gauche mais je m'empêche quand même (ne serait-ce que par respect aux grands de la littérature) de faire de purs copier-coller d'idées.
Je suis arrivée au milieu de ce deuxième tome et tout ce que je trouve à dire, c'est… Sophie, ça suffit maintenant.
1. L'intrigue laisse à désirer. Je m'explique : dans ce deuxième tome, au début, l'auteure ne nous laisse pas même le temps de nous acclimater aux informations découvertes dans le tome précédent que déjà, beaucoup beaucoup beaucoup d'autres choses se passent. Cela en devient même déroutant pour le lecteur de suivre plic ploc les « héros » de l'histoire d'intrigue en intrigue. Pas un moment de pause pour les personnages, ni pour le lecteur… C'est fatiguant.
2. L'auteur cherche visiblement à amuser le lecteur, mais ne réalise que des flops malaisants. Dans les dialogues, quand on voit un personnage censé être adulte, mature, etc, faire des blagues douteuses voire même « pipi-caca », le lecteur n'y croit pas. Au-delà de cette dimension parfois simpliste ou enfantine de « l'humour Tara Duncan », on retrouve également des réflexions ou des réparties qui sont tout sauf drôles ou pertinentes. On se demande même souvent ce que cela apporte à l'histoire…
3. Les personnages sont incohérents et ne sont pas attachants. Tara est une sale gosse, avouons-le, qui se la joue grosse dure à cuire (sauf que je rappelle : elle a douze ans). Certains des mots employés par cette gamine ne devraient même pas sortir de sa bouche. Elle a douze ans, crénom de nom ! Et ses petits copains, c'est pareil. Mais non, l'auteure veut des enfants prodiges, qui parlent comme des adultes, qui font tout à leur guise, qui ne s'inquiètent pas des conséquences et qui réussissent absolument tout sur leur passage.
Je suis vraiment désolée mais à un moment donné, enough is enough. J'ai vraiment essayé d'accrocher à cette série, et tout ce que j'ai découvert c'est un agacement continu autant face au fond, au contenu de la série que face à l'auteure qui est tout sauf supportable (allez voir ses interviews, grincement de dents garanti).
Cette série va se retrouver, sans regret, dans ma pile de livres à donner.
