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Critique de LyaTerrature
C'est toujours difficile de commencer une chronique, on ne sait jamais de quoi parler en premier et comment la terminer. Avec l'histoire bouleversante qu'a dépeinte et retranscrite Gaëlle, c'est un peu comme une grosse colle pour moi. Je vous explique, depuis que j'ai tourné la dernière page de ce récit je ne sais plus comment voir le monde et ma vie en particulier. J'ai été tellement submergée d'une violence inouïe, que j'ai la sensation de n'être plus sur Terre mais dans un autre monde parallèle. Je n'ai même plus les idées éclairées pour tout vous dire. Je me suis prise une énorme claque en pleine figure et surtout en plein coeur. Ce livre est un coeur qui bat tout simplement.
La romance qui éclos telle une fleur pas à pas dans un contexte difficile qu'est la guerre et l'occupation sous les Allemands, je pense que c'est un gros point fort dans ce livre. L'auteure connaît son sujet, elle a fait en sorte de nous immerger complètement dans cette lourde et pénible parenthèse de notre Histoire, avec une plume délicate, immersive, addictive et surtout pleine de tendresse et d'espoir. Je suis subjuguée d'avoir lu ce roman en l'espace d'une nuit, je ne voulais plus le lâcher. Je voulais continuer de découvrir et de suivre au fur et mesure l'histoire de Solange qui, à l'époque n'est encore qu'une étudiante en médecine qui tombe tout simplement amoureuse de Samuel, un Juif.
L'immersion est complètement réussie, rien ne passe à la trappe. Même l'étoile jaune, la déportation, les camps de concentration et tout le reste est imprégné dans ce livre. Combien de fois je me suis mise à pleurer lors des scènes brutales où les familles Juives se font emmenées avec leurs enfants. Combien de fois j'ai senti mon coeur et mon âme se serrer de douleur.
Combien de fois j'ai espéré qu'il n'arrive rien à Samuel, et pourtant tous les indicateurs étaient là pour que je fonde en larmes. Je me suis tellement attachée à Solange qui continue d'être forte, d'être courageuse dans ces moments si bouleversants. Vous savez, cette sensation qu'on vous « arrache une partie de vous » ? Je l'ai ressenti d'une telle puissance, même les mots je crois aussi forts qu'ils soient ne pourraient exprimer cette intensité. Il faut le lire et le ressentir par soi-même pour s'en rendre compte et en prendre conscience.
Tous les personnages en passant des principaux aux secondaires ont été dépeint avec beaucoup de réalisme et d'humanité. J'ai tout de suite ressenti pour eux de la bienveillance et un attachement inébranlable. le travail réalisé à ce niveau est d'une justesse parfaite et je tenais vraiment à le souligner. On dit souvent que c'est lorsque l'on perd tout, qu'on se rend compte de l'importance des choses et des personnes qui ne sont plus là.
Je pense que c'est une bonne leçon de vie que nous livre ce récit. Puis puisqu'il faut bien finir cette chronique à un moment...telle un feu d'artifice qui attend d'être activé pour exploser de mille couleurs, la fin inattendue de cette romance historique a touché le bouton ON de mon hypersensibilité. J'ai pleuré toutes les larmes de mon corps et en y repensant cela me fait le même effet. Ce roman n'est « qu'une parenthèse » de quelque chose de pourtant très grand et profondément humain. Une petite histoire dans une grande histoire. Un pétale de fleur qui se fait emporter au loin par le courant de la vie, mais qui garde en sa mémoire toutes les fêlures et aussi bien toute la beauté d'un grand amour.
La romance qui éclos telle une fleur pas à pas dans un contexte difficile qu'est la guerre et l'occupation sous les Allemands, je pense que c'est un gros point fort dans ce livre. L'auteure connaît son sujet, elle a fait en sorte de nous immerger complètement dans cette lourde et pénible parenthèse de notre Histoire, avec une plume délicate, immersive, addictive et surtout pleine de tendresse et d'espoir. Je suis subjuguée d'avoir lu ce roman en l'espace d'une nuit, je ne voulais plus le lâcher. Je voulais continuer de découvrir et de suivre au fur et mesure l'histoire de Solange qui, à l'époque n'est encore qu'une étudiante en médecine qui tombe tout simplement amoureuse de Samuel, un Juif.
L'immersion est complètement réussie, rien ne passe à la trappe. Même l'étoile jaune, la déportation, les camps de concentration et tout le reste est imprégné dans ce livre. Combien de fois je me suis mise à pleurer lors des scènes brutales où les familles Juives se font emmenées avec leurs enfants. Combien de fois j'ai senti mon coeur et mon âme se serrer de douleur.
Combien de fois j'ai espéré qu'il n'arrive rien à Samuel, et pourtant tous les indicateurs étaient là pour que je fonde en larmes. Je me suis tellement attachée à Solange qui continue d'être forte, d'être courageuse dans ces moments si bouleversants. Vous savez, cette sensation qu'on vous « arrache une partie de vous » ? Je l'ai ressenti d'une telle puissance, même les mots je crois aussi forts qu'ils soient ne pourraient exprimer cette intensité. Il faut le lire et le ressentir par soi-même pour s'en rendre compte et en prendre conscience.
Tous les personnages en passant des principaux aux secondaires ont été dépeint avec beaucoup de réalisme et d'humanité. J'ai tout de suite ressenti pour eux de la bienveillance et un attachement inébranlable. le travail réalisé à ce niveau est d'une justesse parfaite et je tenais vraiment à le souligner. On dit souvent que c'est lorsque l'on perd tout, qu'on se rend compte de l'importance des choses et des personnes qui ne sont plus là.
Je pense que c'est une bonne leçon de vie que nous livre ce récit. Puis puisqu'il faut bien finir cette chronique à un moment...telle un feu d'artifice qui attend d'être activé pour exploser de mille couleurs, la fin inattendue de cette romance historique a touché le bouton ON de mon hypersensibilité. J'ai pleuré toutes les larmes de mon corps et en y repensant cela me fait le même effet. Ce roman n'est « qu'une parenthèse » de quelque chose de pourtant très grand et profondément humain. Une petite histoire dans une grande histoire. Un pétale de fleur qui se fait emporter au loin par le courant de la vie, mais qui garde en sa mémoire toutes les fêlures et aussi bien toute la beauté d'un grand amour.
