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Critique de airess600
Le faucon du Siam.
Pour paraphraser une critique de film : le faucon, un vrai livre.
Un beau livre d'aventures avec tous les ingrédients : Un héros charmeur, des héroïnes ensorcelantes, des intrigues de cour, de l'exotisme, de l'aventure.
Vous rajoutez des descriptions amoureuses du Siam, paysages, gens, culture et spiritualité .
Vous relevez avec la cupidité, l'avidité, le sexe, de la violence et de la cruauté. Introduisez quelques méchants dont un psychopathe.
Vous laissez mijoter pendant trois tomes et vous avez un plat dont vous savourez chaque bouchée même si on s'étouffe parfois.
.Ceux qui vont décrocher, diront des invraisemblances, les autres marcheront de bon coeur même si celui-ci est parfois
bien secoué.
Un bon plat comme un bon livre, ce sont des impressions avant tout. Cette plongée dans l'univers de l'auteur qui, à l'évidence, connait et aime le Siam et ses habitants , me rappellent
certains romans qui m'avaient bien marqué en leur temps . Je pense à Shogun ou Azteca. A l'évidence, cette saga se prêterait à une série dont on espère une meilleur traitement que celui infligé à Shogun.
3 tomes qui ne se lisent pas le temps d'un repas sur une feuille de bananier. On va dire plutôt le temps d'un voyage enchanté quoiqu'épuisant dans l'isthme séparant le golfe du Bengale et celui du Siam :
à dos d'éléphant, en bateau avec 50 rameurs, les hurlements des singes le jour et le feulement des tigres la nuit.
Enfin, toute cette histoire dérive d'une histoire vraie, celle d'un aventurier farang ( nom siamois désignant un européen) Constantin Phaulkon devenu Barcelon( premier ministre) sous le nom de Luang Vichaiyen.
Vous avez de la chance . Je vous ai évité quelques navrantes périphrases entendues il y a peu sur les ondes comme arc narratif ou voyage immersif, ceci afin d'épater le chaland.
En y réfléchissant, je trouve qu'il l y a un fort cousinage entre cet auteur et Lucien Bodard sur les centres d'intérêt et l'écriture.
En tout état de cause, vous lirez un bon gros roman d'aventures, que ce soit en train ou ailleurs.
Pour paraphraser une critique de film : le faucon, un vrai livre.
Un beau livre d'aventures avec tous les ingrédients : Un héros charmeur, des héroïnes ensorcelantes, des intrigues de cour, de l'exotisme, de l'aventure.
Vous rajoutez des descriptions amoureuses du Siam, paysages, gens, culture et spiritualité .
Vous relevez avec la cupidité, l'avidité, le sexe, de la violence et de la cruauté. Introduisez quelques méchants dont un psychopathe.
Vous laissez mijoter pendant trois tomes et vous avez un plat dont vous savourez chaque bouchée même si on s'étouffe parfois.
.Ceux qui vont décrocher, diront des invraisemblances, les autres marcheront de bon coeur même si celui-ci est parfois
bien secoué.
Un bon plat comme un bon livre, ce sont des impressions avant tout. Cette plongée dans l'univers de l'auteur qui, à l'évidence, connait et aime le Siam et ses habitants , me rappellent
certains romans qui m'avaient bien marqué en leur temps . Je pense à Shogun ou Azteca. A l'évidence, cette saga se prêterait à une série dont on espère une meilleur traitement que celui infligé à Shogun.
3 tomes qui ne se lisent pas le temps d'un repas sur une feuille de bananier. On va dire plutôt le temps d'un voyage enchanté quoiqu'épuisant dans l'isthme séparant le golfe du Bengale et celui du Siam :
à dos d'éléphant, en bateau avec 50 rameurs, les hurlements des singes le jour et le feulement des tigres la nuit.
Enfin, toute cette histoire dérive d'une histoire vraie, celle d'un aventurier farang ( nom siamois désignant un européen) Constantin Phaulkon devenu Barcelon( premier ministre) sous le nom de Luang Vichaiyen.
Vous avez de la chance . Je vous ai évité quelques navrantes périphrases entendues il y a peu sur les ondes comme arc narratif ou voyage immersif, ceci afin d'épater le chaland.
En y réfléchissant, je trouve qu'il l y a un fort cousinage entre cet auteur et Lucien Bodard sur les centres d'intérêt et l'écriture.
En tout état de cause, vous lirez un bon gros roman d'aventures, que ce soit en train ou ailleurs.
