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Critique de helhiv
C'est toujours étrange de constater un tel écart de ressenti entre deux livres d'un même auteur. Après avoir lu le majestueux Jonathan Livingstone le goéland, je pensait me régaler pareillement avec Un pont sur l'infini. Et bien non.
Ce petit livre dégouline beaucoup trop à mon goût. C'est plein de gentillesse, de respect et autres bons sentiments, ça coule sirupeusement jusqu'à l'écoeurement. Non pas que ces sentiments soient condamnables ;) mais parce que l'auteur nous rappelle un peu trop souvent qu'il est un très gentil garçon ... et qu'il cherche une très gentille fille.
Je ne me suis jamais vraiment remise de la scène où les deux amoureux sont occupés chacun de leur côté et où ils prennent quasiment rendez-vous pour pouvoir se parler de peur de violer la sphère intime de l'autre.
Du coup, je n'ai plus jamais rien lu de Richard Bach et c'est certainement un tort. N'hésitez pas à me faire une recommandation de lecture ...
Ce petit livre dégouline beaucoup trop à mon goût. C'est plein de gentillesse, de respect et autres bons sentiments, ça coule sirupeusement jusqu'à l'écoeurement. Non pas que ces sentiments soient condamnables ;) mais parce que l'auteur nous rappelle un peu trop souvent qu'il est un très gentil garçon ... et qu'il cherche une très gentille fille.
Je ne me suis jamais vraiment remise de la scène où les deux amoureux sont occupés chacun de leur côté et où ils prennent quasiment rendez-vous pour pouvoir se parler de peur de violer la sphère intime de l'autre.
Du coup, je n'ai plus jamais rien lu de Richard Bach et c'est certainement un tort. N'hésitez pas à me faire une recommandation de lecture ...
