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Critique de tolstoievski
Un Homme d'affaires est une nouvelle sans prétention De Balzac, ni déplaisante, ni captivante, dans la moyenne, sans plus. Il y est question d'un épisode, sorte de bras de fer ou de duel, comme vous voudrez, entre un noble désargenté et… un homme d'affaires !
Cet épisode aurait tout à fait pu trouver sa place dans les très gros romans d'Honoré de Balzac, je pense notamment à Splendeurs et misères des courtisanes ou bien encore à Illusions perdues, dont il a tout à fait l'esprit. D'ailleurs, si l'on y regarde de près, cet homme d'affaires, nous le connaissons déjà, car il intervient justement dans les deux ouvrages précités ainsi que dans Les petits Bourgeois.
Cet homme d'affaires, c'est Cérizet : un orphelin qui s'est fait tout seul et qui, pour se faire, a parfois dû marcher au-delà des limites strictes du droit. S'il était né coiffé, aucun doute que la destinée eût fait de lui un honnête homme, mais il est né orphelin…
L'homme qui devra se coltiner au tenace Cérizet n'est pas non plus ce que l'on peut appeler un enfant de choeur car il n'est autre que Maxime de Trailles, une vieille connaissance également, qui apparaît dans pas moins de 13 titres de la Comédie Humaine.
L'un, totalement ruiné chronique, vit depuis toujours au crochet du tout Paris et s'en félicite, l'autre est un roublard notable, voilà qui promet une intéressante confrontation.
Et c'est justement sous l'angle de la dette que Cérizet compte rentrer dans ses frais auprès de Maxime de Trailles. Il s'est, en effet, porté acquéreur d'une créance qu'il compte bien recouvrer. Mais je m'en voudrais de vous en révéler davantage.
Ainsi, je vous laisse à tous l'honneur et l'avantage de découvrir par vous même qui, du roublard mondain ou du roublard bourgeois, aura le dernier mot, et surtout, comment.
Cet épisode aurait tout à fait pu trouver sa place dans les très gros romans d'Honoré de Balzac, je pense notamment à Splendeurs et misères des courtisanes ou bien encore à Illusions perdues, dont il a tout à fait l'esprit. D'ailleurs, si l'on y regarde de près, cet homme d'affaires, nous le connaissons déjà, car il intervient justement dans les deux ouvrages précités ainsi que dans Les petits Bourgeois.
Cet homme d'affaires, c'est Cérizet : un orphelin qui s'est fait tout seul et qui, pour se faire, a parfois dû marcher au-delà des limites strictes du droit. S'il était né coiffé, aucun doute que la destinée eût fait de lui un honnête homme, mais il est né orphelin…
L'homme qui devra se coltiner au tenace Cérizet n'est pas non plus ce que l'on peut appeler un enfant de choeur car il n'est autre que Maxime de Trailles, une vieille connaissance également, qui apparaît dans pas moins de 13 titres de la Comédie Humaine.
L'un, totalement ruiné chronique, vit depuis toujours au crochet du tout Paris et s'en félicite, l'autre est un roublard notable, voilà qui promet une intéressante confrontation.
Et c'est justement sous l'angle de la dette que Cérizet compte rentrer dans ses frais auprès de Maxime de Trailles. Il s'est, en effet, porté acquéreur d'une créance qu'il compte bien recouvrer. Mais je m'en voudrais de vous en révéler davantage.
Ainsi, je vous laisse à tous l'honneur et l'avantage de découvrir par vous même qui, du roublard mondain ou du roublard bourgeois, aura le dernier mot, et surtout, comment.
