AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de Thaddeus


Je suis toujours fasciné par la forme que prend les comparaisons utilisées par Balzac. Je les considère comme l'une des manifestations de son génie. Au début de Ferragus, il compare Paris et ses gens à un «grand homard». le homard a des pinces puissantes. Il coupe. Il agrippe fortement tout ce qu'il attrape. Mais ne relâche pas aussi facilement. C'est un petit défaut chez lui. Il broie et brise sans distinction. La ville et la société font de même.
Ne pas oublier le fameux homard De Nerval! C'était, j'imagine, un temps où les homards, ceux «qui savent les secrets de la mer», avaient la cote.
Commenter  J’apprécie          90



Ont apprécié cette critique (6)voir plus




{* *}