Quelle puissance faramineuse met
Balzac pour décrire cet amour immortel. Quel délire d'écriture. Toute la deuxième partie. Celle qui rappelle Manon Lescaut est tout à fait splendide, magistrale et dépeint la puissance d'un amour comme on le lit rarement en littérature.
Et cette phrase magistrale du père « reviens, tu m'as vaincu »
Poignant et sublime
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