C'est parce que ce « conte fantastique » a inspiré le film « La belle noiseuse » de Jacques Rivette que je m'y suis intéressée. Mais j'ai bien du mal avec
Honoré de Balzac, et «
le chef d'oeuvre inconnu » ne fait pas exception. Ses longues descriptions ont quelque chose de scolaire qui me rappelle de mauvais souvenirs.
J'attendais peut être trop de ce texte qui est réputé pour être une méditation sur la création, la recherche initiatique de l'absolu et le pouvoir de l'esprit dans le domaine de l'art en général et de la peinture en particulier. Même si c'est indéniable, j'ai quand même entendu un vieux râleur critiquer ce que faisaient les autres.
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