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Critique de fanfanouche24
Souvenir rapporté du village du livre breton, Bécherel...août 2022
Joli petit fascicule imprimé à l'ancienne, par les éditions typographiques, Les Petites allées, localisées à Rochefort-sur- Mer, la couverture ornée d'une vignette.
...nous offrant un bref extrait des " Illusions perdues " De Balzac...touchant l'histoire de l'imprimerie et surtout un portrait assez mordant d'un imprimeur peu sympathique, porté sur la boisson... Jerôme- Nicolas Séchard...
Rappelons que Balzac a été lui-même imprimeur...toutefois cela fût un désastre financier...qu'il dit subir fort longtemps....
Son portrait peu flatteur de son imprimeur, Séchard...serait-il un peu teinté d'un brin d'amertume ou de rage...envers une expérience passionnante, mais cuisante par l'échec financier, qui pesa lourdement ensuite sur l'auteur de " La Comédie Humaine"....??
Ce mini livre , imprimé sur un joli papier crème ( avec une enveloppe assortie) va partir en cadeau vers les montagnes jurassiennes dans une maison amie...
Je termine par la présentation de cette minuscule plaquette par l'éditeur :
"Honoré de Balzac, de 1825 à 1828, a exploité à Paris, dans l'actuelle rue Servandoni, une imprimerie, doublée d'une fonderie de caractères ; cela ne lui a pas réussi sur le plan financier, car il a gardé de sa faillite une dette qui l'a poursuivi sa vie durant.Mais il en a tiré une connaissance du métier et du milieu qui lui ont permis d'écrire les pages qui suivent.La plume De Balzac est toujours aigüe, souvent cynique, parfois à la limite de la misanthropie. Son portrait du père Séchard et de son atelier ne laisse rien dans l'ombre, ni de la médiocrité du personnage, ni des détails de l'installation, de l'outillage et du fonctionnement de l'imprimerie. Laquelle est d'une époque plus ancienne encore que la nôtre, avec ses presses manuelles, à plat, en bois. (...)"
Joli petit fascicule imprimé à l'ancienne, par les éditions typographiques, Les Petites allées, localisées à Rochefort-sur- Mer, la couverture ornée d'une vignette.
...nous offrant un bref extrait des " Illusions perdues " De Balzac...touchant l'histoire de l'imprimerie et surtout un portrait assez mordant d'un imprimeur peu sympathique, porté sur la boisson... Jerôme- Nicolas Séchard...
Rappelons que Balzac a été lui-même imprimeur...toutefois cela fût un désastre financier...qu'il dit subir fort longtemps....
Son portrait peu flatteur de son imprimeur, Séchard...serait-il un peu teinté d'un brin d'amertume ou de rage...envers une expérience passionnante, mais cuisante par l'échec financier, qui pesa lourdement ensuite sur l'auteur de " La Comédie Humaine"....??
Ce mini livre , imprimé sur un joli papier crème ( avec une enveloppe assortie) va partir en cadeau vers les montagnes jurassiennes dans une maison amie...
Je termine par la présentation de cette minuscule plaquette par l'éditeur :
"Honoré de Balzac, de 1825 à 1828, a exploité à Paris, dans l'actuelle rue Servandoni, une imprimerie, doublée d'une fonderie de caractères ; cela ne lui a pas réussi sur le plan financier, car il a gardé de sa faillite une dette qui l'a poursuivi sa vie durant.Mais il en a tiré une connaissance du métier et du milieu qui lui ont permis d'écrire les pages qui suivent.La plume De Balzac est toujours aigüe, souvent cynique, parfois à la limite de la misanthropie. Son portrait du père Séchard et de son atelier ne laisse rien dans l'ombre, ni de la médiocrité du personnage, ni des détails de l'installation, de l'outillage et du fonctionnement de l'imprimerie. Laquelle est d'une époque plus ancienne encore que la nôtre, avec ses presses manuelles, à plat, en bois. (...)"
