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Critique de Fredolagachette
Je continue à reprendre la lecture de BD achetées durant les années 2000, et j'avoue qu'avec Spoutnik, le plaisir est toujours présent.
Baru y décrit des tranches de vie, de l'enfance qui est mise en avant, jusqu'aux adultes et leurs convictions de l'époque.
Autre époque que la notre... mais que l'on peut transposer sur certains points (le racisme "bête" du papa, les guerres de territoires (même si contrairement à aujourd'hui, les gamins comme décrits avaient quelques codes d'honneur).
En parallèle, il y a une certaine beauté presque désuète dans cette vie un peu à la rude qui était pas mal régentée par le communisme (et ses dérives).
Je ne dis pas là que je suis nostalgique du communisme, mais plus du soutien que cela pouvait apporter à bon nombre de prolétaires (un peu comme une religion de fait).
Bref, Baru réussit une nouvelle fois ce pari de la tranche de vie (même s'il est parfois difficile de quitter les personnages lorsque la dernière page arrive...)
Baru y décrit des tranches de vie, de l'enfance qui est mise en avant, jusqu'aux adultes et leurs convictions de l'époque.
Autre époque que la notre... mais que l'on peut transposer sur certains points (le racisme "bête" du papa, les guerres de territoires (même si contrairement à aujourd'hui, les gamins comme décrits avaient quelques codes d'honneur).
En parallèle, il y a une certaine beauté presque désuète dans cette vie un peu à la rude qui était pas mal régentée par le communisme (et ses dérives).
Je ne dis pas là que je suis nostalgique du communisme, mais plus du soutien que cela pouvait apporter à bon nombre de prolétaires (un peu comme une religion de fait).
Bref, Baru réussit une nouvelle fois ce pari de la tranche de vie (même s'il est parfois difficile de quitter les personnages lorsque la dernière page arrive...)
