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Citations sur Agatha Raisin enquête, tome 10 : Panique au manoir (48)

Habituée aux routes sinueuses et aux collines des Cotswolds, Agatha trouva infiniment déprimant ce paysage sans relief qui s’étendait à perte de vue.
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– Excusez-moi. »
La voix derrière eux les fit sursauter. Le gringalet était revenu sur ses pas. « Je me présente : Gerry Philpot, de The Radical Voice. »
C’était un garçon assez jeune aux cheveux déjà rares, au regard veule, vêtu d’une veste vert pomme, avec une chemise à carreaux, un pantalon de velours côtelé miteux et une cravate rouge. Le quotidien qu’il représentait se prétendait objectif. C’était le genre de journal qui faisait des reportages sur les « factions belligérantes » en Bosnie afin d’éviter de dire ce qui crevait les yeux, à savoir que les Serbes massacraient tout le monde. Le genre de journal qui évite de prendre position et pontifie. Et qui paie son personnel le moins possible. D’où des reporters tels que Gerry Philpot.
« Vous avez entendu parler du meurtre ? demanda-t-il.
– Oui, dit Agatha, devançant la réaction de Charles. Nous avons été les derniers à avoir vu Tolly Trumpington-James vivant.
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Vous avez entendu parler du meurtre ? demanda-t-il.
– Oui, dit Agatha, devançant la réaction de Charles. Nous avons été les derniers à avoir vu Tolly Trumpington-James vivant.
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Charles devais retrouver Agata à cinq heures à côté de la voiture, dans un parking. La brume s’était levée et un soleil de fin d’après-midi briller. Il la vit s’avancer vers lui et sourit. Son épaisse chevelure était de nouveau d’un brun luisant, et son visage avait été habilement maquillé. Elle portait un ensemble en tweed souple couleur bruyère. Ses très jolies jambes été mise en valeur par des collants fin et une paire d’escarpins neufs. Agatha ne serait jamais une beauté, se dit Charles, mais elle dégageait un puissant magnétisme sexuel dont elle n’était absolument pas consciente.
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Elle avait déjà loué un cottage dans un village du Norfolk : Fryfam. Elle l’avait choisi à l’aveugle, ne connaissant ni le village, ni le Norfolk. Mais c’est là qu’une voyante lui avait prédit que son destin s’accomplirait. Son voisin immédiat, le grand amour de sa vie, James Lacey, avait déserté Carsely sans lui dire au revoir, aussi avait-elle décidé de s’installer là-bas et choisi un village en piquant une aiguille au hasard sur la carte. Un coup de téléphone au poste de police de la ville lui avait permis d’obtenir les coordonnées d’un agent immobilier, elle avait trouvé un cottage à louer, et il ne lui restait plus qu’à vendre le sien et à quitter les lieux.
Mais les acheteurs potentiels ne lui plaisaient pas. Soit les femmes étaient trop jolies – et Agatha ne voulait pas qu’une séduisante créature habite à côté de chez James –, soit elles étaient revêches et désagréables, et elle ne tenait pas à infliger leur présence aux villageois.
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« Vous allez nous faire le plaisir de laisser nos femmes tranquilles, aboya-t-il.
– Hein ? Mais de quoi parlez-vous ?
– Le pub, c’est pour les hommes.
– Exception faite de la délicieuse Rosie. »
Il rougit.
« Je vous aurai avertie.
– Vous voyez cette porte ? Eh bien, regardez-la de plus près ! » Et Agatha la lui claqua au nez.
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"Je n'aurais pas dû rire, regretta-t-elle, contrite. Parce que ce n'est pas drôle du tout. Ce pauvre homme ! Pourquoi ai-je ri, Alf ?
- Nous sommes comme la police et la presse, soupira-t-il. Nous avons à gérer tant d'histoires pénibles que parfois un rire déplacé est notre façon de nous protéger.
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Charles se dit - et c’est n’était pas la première fois - qu’Agatha avait toute la subtilité d’un rhinocéros qui charge.
(page 249)
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« Il y a plus de choses dans le ciel et sur la terre, Horatio, que n’en peut rêver notre philosophie », récita Mrs Bloxby.
- Qui diable est cet Horatio ? fit Agatha.
- C’est une citation de Hamlet. Je l’ai sans doute écorchée. Ce que je veux dire, c’est que des choses bizarres peuvent se produire.
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- Ce n’est pas dans les usages ici. Les femmes sont tolérées au pub à midi, mais le soir on les regarde d’un mauvais œil.
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