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Critique de Phoenicia
Achetée et commencée sur un coup de tête ce matin, j'aurai passé plus de 6 heures plongée dans cette lecture qui aura été lue d'une traite. Pas mal pour un premier jour de vacances.
Erin Beaty m'aura complètement emportée dans son univers. Quel est-il? On est dans une société très proche de l'Europe médiévale. L'autrice a d'ailleurs choisi de garder quelques noms de capitales en latin. Dans cette société, notre protagoniste est une assistante d'un maître architecte de renom, attaché à construire un édifice religieux. On a des vibes des Piliers de la Terre. A côté de ça, de sombres meurtres apparaissent qui ne sont pas loin de nous rappeler ceux de Jack L'Eventreur et un "profiler" est chargé de trouver le meurtrier. Pour cela, il est aidé de Cat, notre héroïne, qui en sait un peu plus et qui surtout semble avoir tout récemment une étrange magie qui peut l'aider dans ces meurtres...
On a une trame très riche, entre l'ambiance médiévale, l'enquête mais aussi la magie de la Lune telle qu'elle nous est dépeinte. Une magie originale que l'on découvre au fur et à mesure de l'histoire et qui, je pense, va être d'autant plus creusée dans le tome 2. On pourrait croire que les deux univers, qu'une trame aussi disparate ferait que ça ne se synthétiserait pas. Au contraire, ça fusionne bien.
Les personnages sont aussi le point fort de ce titre, notamment celui de Cat, jeune fille intelligente, indépendante, loyale et empathique. le personnage de Simon est aussi très intéressant, avec son côté sombre, torturé mais aussi dans l'acceptation et la générosité. L'autrice a voulu faire de nos protagonistes principaux des personnages ouverts, permettant ainsi d'être en adéquation avec son subtil message sur les maladies mentales, leur traitement comme leur acceptation par la société.
On a un récit qui peut sembler young adult pour autant j'ai trouvé cela très subtil (le côté tueur en série aidant pas mal) et la romance ne prenant pas trop de place et n'étant pas trop sirupeuse comme je peux le ressentir dans beaucoup de récit young adult.
Je ressors de ce récit enchantée et surprise. Je ne m'attendais pas à être autant séduite.
Erin Beaty m'aura complètement emportée dans son univers. Quel est-il? On est dans une société très proche de l'Europe médiévale. L'autrice a d'ailleurs choisi de garder quelques noms de capitales en latin. Dans cette société, notre protagoniste est une assistante d'un maître architecte de renom, attaché à construire un édifice religieux. On a des vibes des Piliers de la Terre. A côté de ça, de sombres meurtres apparaissent qui ne sont pas loin de nous rappeler ceux de Jack L'Eventreur et un "profiler" est chargé de trouver le meurtrier. Pour cela, il est aidé de Cat, notre héroïne, qui en sait un peu plus et qui surtout semble avoir tout récemment une étrange magie qui peut l'aider dans ces meurtres...
On a une trame très riche, entre l'ambiance médiévale, l'enquête mais aussi la magie de la Lune telle qu'elle nous est dépeinte. Une magie originale que l'on découvre au fur et à mesure de l'histoire et qui, je pense, va être d'autant plus creusée dans le tome 2. On pourrait croire que les deux univers, qu'une trame aussi disparate ferait que ça ne se synthétiserait pas. Au contraire, ça fusionne bien.
Les personnages sont aussi le point fort de ce titre, notamment celui de Cat, jeune fille intelligente, indépendante, loyale et empathique. le personnage de Simon est aussi très intéressant, avec son côté sombre, torturé mais aussi dans l'acceptation et la générosité. L'autrice a voulu faire de nos protagonistes principaux des personnages ouverts, permettant ainsi d'être en adéquation avec son subtil message sur les maladies mentales, leur traitement comme leur acceptation par la société.
On a un récit qui peut sembler young adult pour autant j'ai trouvé cela très subtil (le côté tueur en série aidant pas mal) et la romance ne prenant pas trop de place et n'étant pas trop sirupeuse comme je peux le ressentir dans beaucoup de récit young adult.
Je ressors de ce récit enchantée et surprise. Je ne m'attendais pas à être autant séduite.
