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Critique de carolitne
Ses mots sont bleus.
De la couleur du ciel, immensité vide d'une page blanche à remplir, d'une toile vierge à peindre.
Un ciel du bleu transparent qu'il porte en lui comme la « trace fondamentale » d'un rêve nécessaire, qui laisse entrapercevoir le réel à travers son regard.
Un ciel constellé de nuages, fines plumes blanches fugaces, dérivant au gré du vent ; porteurs d'histoires pour qui sait lire en eux, témoins d'un réel insaisissable et éphémère. Que lui seul saura saisir.
Un ciel dans lequel se noie son regard de peintre, d'écrivain. de celui qui voit l'invisible. Qui pense en images comme il brosse les mots ; qui peint comme il écrit. le regard vers les cieux, tournant le dos au réel brut.
Se frayant un passage à travers un mur invisible, « un magnifique mur de pierres anciennes », frontière spirituelle entre « ce que l'on sent et ce que l'on peut ». le rempart d'une cité qui couve les forces de l'esprit créateur et protège un espace de liberté tel les bords d'une toile ou d'une page.
Il est un écrivain qui peint la ville, ses maisons dressées vers le ciel qui héberge ses rêves, comme il peint le monde. Son pinceau, son stylo tracent l'invisible lien entre « les mots et les couleurs, entre la douleur et la lumière du monde » pour combler les vides et les manques par la couleur. Des mots.
Qui nous emportent aux sources de la création. Dans un espace mental où se mêlent les mots et les couleurs, les images et les lettres ; nourri par le cinéma, le jazz, construit par les rencontres, enrichi par les voyages. Par ce texte intime et poétique, Tahar Ben Jelloun nous ouvre les portes d'un imaginaire éclatant et coloré, inspiré par la lumière d'un ciel dans lequel se noie son regard, par les artistes qui furent ses maîtres, par les souvenirs d'une enfance déterminante dans sa construction artistique.
Pour « une liberté d'invention et d'improvisation »
Lien : https://www.instagram.com/p/..
De la couleur du ciel, immensité vide d'une page blanche à remplir, d'une toile vierge à peindre.
Un ciel du bleu transparent qu'il porte en lui comme la « trace fondamentale » d'un rêve nécessaire, qui laisse entrapercevoir le réel à travers son regard.
Un ciel constellé de nuages, fines plumes blanches fugaces, dérivant au gré du vent ; porteurs d'histoires pour qui sait lire en eux, témoins d'un réel insaisissable et éphémère. Que lui seul saura saisir.
Un ciel dans lequel se noie son regard de peintre, d'écrivain. de celui qui voit l'invisible. Qui pense en images comme il brosse les mots ; qui peint comme il écrit. le regard vers les cieux, tournant le dos au réel brut.
Se frayant un passage à travers un mur invisible, « un magnifique mur de pierres anciennes », frontière spirituelle entre « ce que l'on sent et ce que l'on peut ». le rempart d'une cité qui couve les forces de l'esprit créateur et protège un espace de liberté tel les bords d'une toile ou d'une page.
Il est un écrivain qui peint la ville, ses maisons dressées vers le ciel qui héberge ses rêves, comme il peint le monde. Son pinceau, son stylo tracent l'invisible lien entre « les mots et les couleurs, entre la douleur et la lumière du monde » pour combler les vides et les manques par la couleur. Des mots.
Qui nous emportent aux sources de la création. Dans un espace mental où se mêlent les mots et les couleurs, les images et les lettres ; nourri par le cinéma, le jazz, construit par les rencontres, enrichi par les voyages. Par ce texte intime et poétique, Tahar Ben Jelloun nous ouvre les portes d'un imaginaire éclatant et coloré, inspiré par la lumière d'un ciel dans lequel se noie son regard, par les artistes qui furent ses maîtres, par les souvenirs d'une enfance déterminante dans sa construction artistique.
Pour « une liberté d'invention et d'improvisation »
Lien : https://www.instagram.com/p/..
