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Critique de Jolap
Edina Bernard, éminente historienne de l'art contemporain, nous accompagne pour une habile rétrospective des grands mouvements artistiques en Europe de 1905 à 1945.
Le la est donné quand, au salon d'automne de 1905, les fauves déclenchent un scandale, bousculant violemment les règles établies et figées de l'art figuratif, classique, immuable, formel et sans concession.
La révolution est en marche. Les impressionnistes avaient déjà fait parler d'eux mais là le bouleversement est intense. L'auteure s'appuie sur les nombreuses découvertes industrielles, (photographie, transports etc)
pour décrire l'explosion de l'art dans sa représentation multiple, variée, créative et sans limite.
Edina Bernard planifie ses explications pour qu'elles soient claires, structurées et aisées. (112 pages pour ce livre qui contient de nombreuses illustrations.). Une chronologie en fin d'ouvrage met en relation année après année, les faits historiques marquants et les oeuvres les plus importantes comme pour souligner s'il en était besoin, cette sorte de ballet unique, ce corps à corps entre L Histoire et l'art.
Un chapître décrit la révolution par la couleur. Les fauves et les naïfs en particulier ont une place de choix.
La révolution par les formes évoque les avant-gardes,tel que le cubisme, où Picasso tient la vedette. D'autres artistes viennent soutenir ce courant.
Suit le début de l'abstraction, le dadaïsme, le surréalisme avec Magritte qui a inspiré bien des écrivains, Matisse et bien d'autres "dissidents".
L'auteure s'appuie sur L Histoire tourmentée de cette période pour légitimer ce besoin d'autre chose, ce besoin de liberté, de création nouvelle.
L'histoire de l'art, intimement mêlée à L Histoire des hommes, bouillonne, explose et affronte les esprits rétifs . Edina Bernard nous donne les outils nécessaires pour avoir une connaissance indispensable sur l'évolution de l'art, qu'elle se matérialise dans la peinture, la sculpture ou l'architecture.
Le la est donné quand, au salon d'automne de 1905, les fauves déclenchent un scandale, bousculant violemment les règles établies et figées de l'art figuratif, classique, immuable, formel et sans concession.
La révolution est en marche. Les impressionnistes avaient déjà fait parler d'eux mais là le bouleversement est intense. L'auteure s'appuie sur les nombreuses découvertes industrielles, (photographie, transports etc)
pour décrire l'explosion de l'art dans sa représentation multiple, variée, créative et sans limite.
Edina Bernard planifie ses explications pour qu'elles soient claires, structurées et aisées. (112 pages pour ce livre qui contient de nombreuses illustrations.). Une chronologie en fin d'ouvrage met en relation année après année, les faits historiques marquants et les oeuvres les plus importantes comme pour souligner s'il en était besoin, cette sorte de ballet unique, ce corps à corps entre L Histoire et l'art.
Un chapître décrit la révolution par la couleur. Les fauves et les naïfs en particulier ont une place de choix.
La révolution par les formes évoque les avant-gardes,tel que le cubisme, où Picasso tient la vedette. D'autres artistes viennent soutenir ce courant.
Suit le début de l'abstraction, le dadaïsme, le surréalisme avec Magritte qui a inspiré bien des écrivains, Matisse et bien d'autres "dissidents".
L'auteure s'appuie sur L Histoire tourmentée de cette période pour légitimer ce besoin d'autre chose, ce besoin de liberté, de création nouvelle.
L'histoire de l'art, intimement mêlée à L Histoire des hommes, bouillonne, explose et affronte les esprits rétifs . Edina Bernard nous donne les outils nécessaires pour avoir une connaissance indispensable sur l'évolution de l'art, qu'elle se matérialise dans la peinture, la sculpture ou l'architecture.
