Eva Bester nous propose un petit fascicule sans prétention. C'est une introduction intéressante pour qui ne connaît pas
Léon Spilliaert et son abondante production. Nous comprenons pourquoi le peintre utilise le noir de l'encre de Chine pour exprimer le spleen et la mélancolie. Ses toiles vous convient à suivre sa trace à Ostende.
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