Comme on dit chez nous, si tu t'endors en attendant le dégel, tu te réveilles avec le cul glacé.
J'ai lu quelque part qu'un bon traducteur devait avoir le sens de la nuance et de la cadence, trouver les subtilités qui permettent de rendre dans sa langue les particularités de la langue d'origine ; qu'il devait s'imprégner de l'autre culture pour y chercher les correspondances et les différences avec la sienne, apprendre à se déplacer avec délicatesse dans de sombres brumes sémantiques pour reproduire les effets rhétoriques qui feront le plaisir de ses futurs lecteurs
5 etoiles , rien que parceque j'ai ri ...que dis-je , j'ai pleuré de rire , et croyez-moi ça fait du bien
Merci Fabienne Betting
Ta traduction. Elle ressemble autant à l'original qu'un épisode de Benny Hill ressemble un bouquin de Barbara Cartland.
Le mesmène n’est pas une langue, c’est à peine un dialecte ou un patois parlé par une poignée de paysans dégénérés.
Ils sont maintenant une bonne dizaine, de gros lapins blancs, albinos, à la fourrure miteuse et avec des trognes franchement peu engageantes. [...] Pour un peu, je jurerais qu'ils retroussent les babines et qu'ils sont prêts à m'attaquer. Je repense à ce vieux film des Monty Python, Sacré Graal, où un chevalier se fait attaquer par ce type de rongeur. Ils ont sans doute puisé leur inspiration en Mesménie, ça me parait soudain évident. Au temps pour leur imagination.
Avec Sandrine, il est impossible de s’engueuler pour de bon. Ce n’est pas de sa faute : elle est handicapée du sens de la scène de ménage.