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Critique de Khalya
Dans ce 3e tome, les ennuis continuent.
Les membres du HAT (Humains Avant Tout) font de plus en plus d'émules et les humains continuant à vivre en bonne intelligence avec les Autres sont victimes de discriminations, d'intimidation, quand ce n'est pas carrément d'agressions.
Les élémentaires se montrent de moins en moins patients avec ces humains qui ne savent pas rester à leur place et Simon craint de plus en plus que les anciens ne finissent par décréter l'éradication pure et simple de l'espèce.
Encore une fois, c'est la présence de Meg et les collaborations mises en place dans l'enclos de Lakeside qui retient les Autres de prendre une décision radicale.
Mais cela sera-t-il suffisant sur le long terme?
Dans le tome précédent, j'avais des inquiétudes au sujet de Lizzie, la fille du lieutenant Montgomery dont la mère fricotait avec un membre haut placé du HAT. Dans ce tome, on a pas mal de réponses aux questions que l'on pouvait se poser à ce sujet (je me demande, au passage, s'il faut voir un signe dans le fait que l'auteur ait donné à la famille maternelle de Lizzie le nom de Borden... quand on sait ce que Lizzie Borden a fait à son père).
Tout en restant dans la continuité des tomes précédents, celui-ci ouvre un nouvel arc narratif, l'histoire du "contrôleur" ayant trouvé une conclusion dans le tome 2.
Entre le HAT et une nouvelle Cassandra Sangue qui prend de l'importance, sans parler de toutes les tensions grandissantes de toute part, les prochains tomes promettent de ne pas être de tout repos.
Et il y a toujours, en fil conducteur, cette menace qui pèse sur Meg. Celle qui dit qu'une Cassandra Sangue peut supporter 1000 coupures avant d'en mourir. Or, Meg semble posséder bien plus de cicatrices que ce que tout le monde, lecteurs compris, pensait.
Plus cette histoire avance et plus je crains qu'un happy end ne soit qu'une douce illusion et que l'histoire entre Meg et Simon ne puisse finir que dans les larmes.
Les membres du HAT (Humains Avant Tout) font de plus en plus d'émules et les humains continuant à vivre en bonne intelligence avec les Autres sont victimes de discriminations, d'intimidation, quand ce n'est pas carrément d'agressions.
Les élémentaires se montrent de moins en moins patients avec ces humains qui ne savent pas rester à leur place et Simon craint de plus en plus que les anciens ne finissent par décréter l'éradication pure et simple de l'espèce.
Encore une fois, c'est la présence de Meg et les collaborations mises en place dans l'enclos de Lakeside qui retient les Autres de prendre une décision radicale.
Mais cela sera-t-il suffisant sur le long terme?
Dans le tome précédent, j'avais des inquiétudes au sujet de Lizzie, la fille du lieutenant Montgomery dont la mère fricotait avec un membre haut placé du HAT. Dans ce tome, on a pas mal de réponses aux questions que l'on pouvait se poser à ce sujet (je me demande, au passage, s'il faut voir un signe dans le fait que l'auteur ait donné à la famille maternelle de Lizzie le nom de Borden... quand on sait ce que Lizzie Borden a fait à son père).
Tout en restant dans la continuité des tomes précédents, celui-ci ouvre un nouvel arc narratif, l'histoire du "contrôleur" ayant trouvé une conclusion dans le tome 2.
Entre le HAT et une nouvelle Cassandra Sangue qui prend de l'importance, sans parler de toutes les tensions grandissantes de toute part, les prochains tomes promettent de ne pas être de tout repos.
Et il y a toujours, en fil conducteur, cette menace qui pèse sur Meg. Celle qui dit qu'une Cassandra Sangue peut supporter 1000 coupures avant d'en mourir. Or, Meg semble posséder bien plus de cicatrices que ce que tout le monde, lecteurs compris, pensait.
Plus cette histoire avance et plus je crains qu'un happy end ne soit qu'une douce illusion et que l'histoire entre Meg et Simon ne puisse finir que dans les larmes.
