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Critique de elliedenormandie


Dans la série Meg Corbyn, je demande le tome quatre intitulé : Empreintes fauves. Avec un tome par an, c'est toujours un réel plaisir de lire les aventures de Meg.
Dans ce roman, je trouve que l'auteur a su distiller l'angoisse et les tensions entre humains et terra indigene. de plus, l'apparition des Aînés (les griffes et les crocs de Namid) apporte un souffle d'horreur à la série. Tout en crescendo histoire de bien tenir les lecteurs en haleine.

Ce que j'aime dans cette série, c'est la multitude de personnages. Au fil des tomes, certains s'effacent pour que l'on en apprenne plus sur d'autres personnes, mais tous ont leur importance. En effet, chacun apporte une plume à l'édifice littéraire écrit par Anne Bishop. Personnellement, il n'y en a pas un ou une que je préfère.

Dans ce quatrième tome nous faisons connaissance avec plusieurs membres de la communauté Sanguinati, avec les familles des "gentils" humains, et aussi avec Espoir, une Cassandra Sangue, une rescapée de l'institution comme Meg. L'auteur a mis sa protégée, son héroïne, légèrement en retrait au profit de une autre jeune femme qui tient un rôle très important pour toutes les autres communautés, terra indigène et intuits. Ces derniers tiennent une place importante dans l'histoire.
De plus, Anne Bishop dévoile des personnages très "dark", sombres et pas sympathiques au premier abord : Alantea, Pacifik et aussi les élémentaires : Air, Eau, Feu. Ils sont le monde créé par l'auteur, ils sont les Décideurs, les Maîtres, mais jusqu'au tome quatre ils s'étaient fait discrets.

Même si nous sommes dans un univers Bit-Lit (Littérature mordante au sens addictive), j'ai le sentiment qu'Anne Bishop lance un appel au respect de la nature, j'y vois un message de sensibilisation à l'écologie.

Vivement que le cinquième tome arrive en France... dans un an.
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