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Critique de Nymphea
Les Insurgés : un roman loin d'être transcendant, c'est certain. Une quatrième page de couverture qui en dit un peu trop selon moi, elle résume toute l'histoire et ne laisse pas de suspense.
Car côté suspense, c'est le néant. C'est peut-être pour ça que j'ai eu du mal à poursuivre ma lecture, je n'étais pas vraiment prise dedans.
C'est une histoire qui suit une trame on ne peut plus classique - dystopie avec rebelles qui font entrevoir au protagoniste les dessous de sa société, on a déjà vu, quoi... une bonne centaine de fois ? - MAIS d'un point de vue narratif, je ne classerais pas cet ouvrage avec les autres clichés américains du genre.
En effet, on aurait pu penser qu'une histoire d'amour se serait développée et aurait constitué tout l'enjeu, encore et toujours... Ce n'est pas le cas, c'est très léger, juste assez, parfait. La fin est également remarquable (dans le sens où on peut la remarquer, je précise) : pas une happy-end, l'un des personnages pas si secondaires que ça meurt et je ne m'y attendais pas. En bref, un fin assez originale, qui a su tirer son épingle du jeu.
N'oublions pas que ce roman est un one-shot et les dystopies en un seul tome, c'est très dur à mettre en place... D'autant plus que le livre est fin et les pages pas très remplies. C'est peut-être aussi la raison pour laquelle mon attention se relâchait très vite. Je ne sais pas...
Les Insurgés : vraiment pas la meilleure dystopie que j'ai lue, mais on peut dire qu'elle a fait passer le temps...
Car côté suspense, c'est le néant. C'est peut-être pour ça que j'ai eu du mal à poursuivre ma lecture, je n'étais pas vraiment prise dedans.
C'est une histoire qui suit une trame on ne peut plus classique - dystopie avec rebelles qui font entrevoir au protagoniste les dessous de sa société, on a déjà vu, quoi... une bonne centaine de fois ? - MAIS d'un point de vue narratif, je ne classerais pas cet ouvrage avec les autres clichés américains du genre.
En effet, on aurait pu penser qu'une histoire d'amour se serait développée et aurait constitué tout l'enjeu, encore et toujours... Ce n'est pas le cas, c'est très léger, juste assez, parfait. La fin est également remarquable (dans le sens où on peut la remarquer, je précise) : pas une happy-end, l'un des personnages pas si secondaires que ça meurt et je ne m'y attendais pas. En bref, un fin assez originale, qui a su tirer son épingle du jeu.
N'oublions pas que ce roman est un one-shot et les dystopies en un seul tome, c'est très dur à mettre en place... D'autant plus que le livre est fin et les pages pas très remplies. C'est peut-être aussi la raison pour laquelle mon attention se relâchait très vite. Je ne sais pas...
Les Insurgés : vraiment pas la meilleure dystopie que j'ai lue, mais on peut dire qu'elle a fait passer le temps...
