Les cinq critiques de Babelio étant riches et exhaustives, je ne m'étendrai pas sur
Cadavre expo, un livre que j'ai beaucoup aimé dans lequel il est démontré que la dérision, le surnaturel ou la fantaisie peuvent parfois faire (un peu) oublier l'horreur du quotidien (surtout quand le quotidien est celui d'un pays en guerre) Sur fond de violence et d'horreurs diverses (attentats, règlements de comptes, mise à mort et j'en passe…) ces quinze
nouvelles fortes d'un romantisme macabre d'
Hassan Blasim font penser à Kafka ou à
Dino Buzzati. Elles m'ont également rappelé
Ambrose Bierce. Mais le ton est neuf et l'originalité grande. Nous sommes bien au 21ème siècle et, souvent, on se demande si l'on a envie d'y rester. A lire absolument.
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