J'aime beaucoup le style simple et imagé de
Jean-Philippe Blondel, que j'avais déjà apprécié dans 6h41. Ici pas de mot ni de phrase inutiles, pas de longues introspections, mais la restitution simple d'impressions fortes avec des mots de tous les jours. le récit est en grande partie autobiographique, son ton est juste, et sa lecture agréable. Bien sur, c'est un peu rapide, comme une simple photographie en mots d'un moment de vie, mais c'est une bonne photographie. La bibliographie de l'auteur étant copieuse, c'est avec plaisir que je lirais, à l'occasion, un autre roman de lui.
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