Un nouveau petit livre de
Christian Bobin qui m'a profondément touchée.
J'ai songé en le lisant aux livres de
Antonio Moresco. La forme et le style d'écriture ne sont pas les mêmes. Mais
Christian Bobin comme
Antonio Moresco prête une telle attention aux êtres et aux choses, aux "petite lumières" qui les habitent, qu'il parvient à abolir la frontière entre la vie et la mort.
Une simple phrase et tout est dit :
"Le manque est la lumière donnée à tous."
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