AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de Derfuchs


1963
Mortimer est appelé en Union soviétique, dans l'Oural où une de ses amies dirige une mission archéologique qui vient de découvrir 7 cercueils, pas vraiment anciens, contenant 7 cadavres écorchés du visage.
Parallèlement Blake se trouve à Berlin où un espion a été abattu en franchissant le mur et dont la dernière parole a été : doppelgänger = sosie.
Dans un cas comme dans l'autre un point commun : Julius Kranz spécialiste des manipulations sur le cerveau humain.

J'ai été le premier à toucher cet album qui venait tout juste d'arriver à la bibliothèque de mon village.
Jolie couverture avec, fait rare, Blake en civil.
Cet album est un bon cru, du moins à mon avis. On retrouve le style des aventures chères à Jacobs, un savant tordu et les deux amis enquêtant séparément, pour se retrouver dans le final. Ils bougent pas mal, ils font le coup de point, ils sont surpris, ils se retrouvent pour une fin du tonnerre dan le plus pure style de l'ambiance chère à John le carré.
Et puis il y a Olrik qui informe qu'il va conquérir le monde comme le désire son maître, Basam Damdu, alors on est sauvés, il y aura une suite.
Les personnages sont parfaitement maitrisés, je revois une vignette où Blake, sortant de l'eau, a les cheveux défaits dessinée de belle façon tant et si bien que cela m'a fait tout drôle, peu habitué de le voir ainsi. Un Blake est toujours impeccable. Aubin est très bon dans son trait, il est très proche de Jacobs, d'ailleurs je n'ai pas vu de différence sauf une autre organisation des vignettes peut être.
C'est bavard comme d'habitude et la fin est formidable.
Un bon moment.

Lien : https://www.babelio.com/livr..
Commenter  J’apprécie          510



Ont apprécié cette critique (48)voir plus




{* *}