François Bon a pris le même train tout un hiver pour écrire
Paysage fer. Rude travail pour l'observateur. de la fenêtre de son train corail. Il doit tout saisir d'un coup d'oeil, de la poésie comme un crachin léger, quand le mauvais temps voile la vue. Des images, cocasses par le rapprochement qu'il observe dans le paysage.
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