- Tu remues mieux entre les draps qu'au son de la flûte, diable de fille ! Tu m'as encore marché sur les pieds !
- Alors nous sommes quittes ... Mon grand seigneur pratique beaucoup mieux la danse en musique que celle de l'amour ...
(page 106)
Quel étrange voyage que le tien, Lune ... Combien de tours a-t-il fallu que tu fasses pour revenir entre mes mains et que celles-ci puissent te rendre à la maîtresse de mes songes ...
(page 96)
Pardonnez-moi, Messieurs, si je ne connais pas ce grand seigneur dont vous me parlez ... Mais les seuls seigneurs qui me gouvernent sont le ciel qui nourrit mes pensées et la terre qui porte le poids de mes bottes ...
(page 91)
Quelque chose me dit qu'il y a bien longtemps que ces yeux vivent dans l'ombre.
(page 85)
Trop d'années ont passé ... Trop d'années à se cacher ... Trop d'années à souffrir ... Trop d'années et pourtant tu n'as rien oublié, Artémis !
Mais on ne peut pas enfermer les désirs dans une boîte et les oublier ...
(page 79)
J’aime penser que la lune est là même si je ne la regarde pas.
Pif peut vous procurer quelque chose ...
... quelque chose de très beau ...
Tenir entre vos mains la lune la plus merveilleuse que vous ayez jamais vue.
Trop d'années ont passé... Trop d'années à se cacher... Trop d'années à souffrir... Trop d'années, et pourtant tu n'as rien oublié Artémis ! Mais on ne peut pas enfermer les désirs dans une boîte et les oublier...
- Ecartez-vous, braves gens ! Laissez passer le grand seigneur d'Aldea ! Laissez passer Rufo !
- Jamais un grand seigneur n'a été si peu de chose...
- Tais-toi, si tu tiens à ton cou... Ses laquais sont partout... Les pierres ont des yeux et des oreilles.
Les seuls seigneurs qui me gouvernement sont le ciel qui nourrit mes pensées et la terre qui porte le poids de mes bottes.