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Critique de sarahauger
'C'est la fin du monde ! On va tous y rester et crever dans d'atroces souffrances et... une bombe atomique me kiffe ?! La vie est vraiment fantastique !'
Un étrange phénomène se propage dans la capitale française et sa banlieue, transformant la majorité de la population en monstres avides de chair humaine. Pour une raison inconnue, certains survivants ne présentent aucun symptôme.
L'épidémie est vécue à travers les yeux de femmes et d'hommes que rien ne prédestinait à se rencontrer.
Mathieu, Natacha et Louis vont se croiser d'une manière bien singulière. Se croyant bien à l'abri, ils apprendront que les hordes de morts-vivants qui sillonnent les rues sont loin d'être leur seul problème.
Malgré eux, ils vont s'immerger jusqu'aux origines du mal.
Le Début de la Faim est également le récit d'une histoire d'amour déguisée en roman apocalyptique.
Comme je l'ai dit à Nil, je suis amateur de romans Zombies. le Hic, c'est que dans cette catégorie, on trouve de tout, du bon comme du nanar. du coup, j'aborde ces récits avec une pointe de méfiance.
C'est toujours un plaisir de me rendre compte, avec l'avancée de l'histoire, que je suis tombé sur un très bon livre.
Bon, désolé, Nil, je n'ai pas lu ton livre dans le train même si tu le présentes comme un roman de gare RER. Je confirme, confortablement installée dans un lieu dédié au plaisir de la lecture ça passe très bien aussi.
Bien sûr, je ne vous apprendrai rien si je vous dis qu'une épidémie se déclare et se propage comme une traînée de poudre, seulement, la transformation commence sur des personnes bien vivantes. Les gens mutent, puis se dévorent entre eux. Une faible proportion va être mystérieusement épargnée par cette métamorphose macabre. du zombie quoi.
J'ai vraiment apprécié de rencontrer des personnes qui n'ont pas toutes eu un rôle de survivant. Certaines n'ont fait qu'un passage éclair, juste le temps de faire connaissance avant qu'un accident tragique ne leur ôte la vie. Ça a rendu l'histoire d'autant plus crédible, car pas uniquement remplie de chanceux qui se sortent de toutes les situations. du coup, on ne sait pas qui va vivre ou mourir bêtement sous des dents affûtées prêtes à mordre, ou de façon encore plus stupide. C'est vraiment pas de bol pour certains quand même…
Bon, OK, pour qu'il y ait une histoire, il faut quelques survivants et là aussi on trouve de tout ; des ados fans de jeux vidéo, monsieur et madame tout le monde avec un bon instinct de survie, quelques militaires, un gros lourdaud qui manie l'humour en toute circonstance pour faire tomber les tensions (bon, ça ne marche pas à tous les coups, parfois ça à l'effet inverse, mais il reste attachant quand même).
On comprend également, au fur et à mesure que les pages se tournent, ce qui s'est passé pour qu'on en arrive là. À vous de le lire si vous voulez en savoir plus sur ce sujet. L'idée n'est peut-être pas novatrice, mais va plus loin que ce que j'ai déjà pu lire. J'imagine qu'une suite nous éclairera encore plus à ce sujet.
La façon dont le roman est découpé, le style à la fois trash, sanglant plein d'humour avec des passages remplis d'émotions et même un soupçon de romantisme (enfin, si on peut qualifier la méthode de romantique), les têtes qui explosent sous les balles ou à coup de couteau… tout est là pour faire de ce roman un très bon livre. L'histoire et la façon de la raconter sont vraiment propres à son auteur. Je n'ai pas senti d'influence marquée par les chefs-d'oeuvre du genre. C'est pour moi un excellent premier roman dont je lirai la suite avec plaisir. D'autant que je reste avec une question finale qui attend sa réponse.
Un étrange phénomène se propage dans la capitale française et sa banlieue, transformant la majorité de la population en monstres avides de chair humaine. Pour une raison inconnue, certains survivants ne présentent aucun symptôme.
L'épidémie est vécue à travers les yeux de femmes et d'hommes que rien ne prédestinait à se rencontrer.
Mathieu, Natacha et Louis vont se croiser d'une manière bien singulière. Se croyant bien à l'abri, ils apprendront que les hordes de morts-vivants qui sillonnent les rues sont loin d'être leur seul problème.
Malgré eux, ils vont s'immerger jusqu'aux origines du mal.
Le Début de la Faim est également le récit d'une histoire d'amour déguisée en roman apocalyptique.
Comme je l'ai dit à Nil, je suis amateur de romans Zombies. le Hic, c'est que dans cette catégorie, on trouve de tout, du bon comme du nanar. du coup, j'aborde ces récits avec une pointe de méfiance.
C'est toujours un plaisir de me rendre compte, avec l'avancée de l'histoire, que je suis tombé sur un très bon livre.
Bon, désolé, Nil, je n'ai pas lu ton livre dans le train même si tu le présentes comme un roman de gare RER. Je confirme, confortablement installée dans un lieu dédié au plaisir de la lecture ça passe très bien aussi.
Bien sûr, je ne vous apprendrai rien si je vous dis qu'une épidémie se déclare et se propage comme une traînée de poudre, seulement, la transformation commence sur des personnes bien vivantes. Les gens mutent, puis se dévorent entre eux. Une faible proportion va être mystérieusement épargnée par cette métamorphose macabre. du zombie quoi.
J'ai vraiment apprécié de rencontrer des personnes qui n'ont pas toutes eu un rôle de survivant. Certaines n'ont fait qu'un passage éclair, juste le temps de faire connaissance avant qu'un accident tragique ne leur ôte la vie. Ça a rendu l'histoire d'autant plus crédible, car pas uniquement remplie de chanceux qui se sortent de toutes les situations. du coup, on ne sait pas qui va vivre ou mourir bêtement sous des dents affûtées prêtes à mordre, ou de façon encore plus stupide. C'est vraiment pas de bol pour certains quand même…
Bon, OK, pour qu'il y ait une histoire, il faut quelques survivants et là aussi on trouve de tout ; des ados fans de jeux vidéo, monsieur et madame tout le monde avec un bon instinct de survie, quelques militaires, un gros lourdaud qui manie l'humour en toute circonstance pour faire tomber les tensions (bon, ça ne marche pas à tous les coups, parfois ça à l'effet inverse, mais il reste attachant quand même).
On comprend également, au fur et à mesure que les pages se tournent, ce qui s'est passé pour qu'on en arrive là. À vous de le lire si vous voulez en savoir plus sur ce sujet. L'idée n'est peut-être pas novatrice, mais va plus loin que ce que j'ai déjà pu lire. J'imagine qu'une suite nous éclairera encore plus à ce sujet.
La façon dont le roman est découpé, le style à la fois trash, sanglant plein d'humour avec des passages remplis d'émotions et même un soupçon de romantisme (enfin, si on peut qualifier la méthode de romantique), les têtes qui explosent sous les balles ou à coup de couteau… tout est là pour faire de ce roman un très bon livre. L'histoire et la façon de la raconter sont vraiment propres à son auteur. Je n'ai pas senti d'influence marquée par les chefs-d'oeuvre du genre. C'est pour moi un excellent premier roman dont je lirai la suite avec plaisir. D'autant que je reste avec une question finale qui attend sa réponse.
