La Quête d'Ewilan, tome 3 : L'île du destin

Les Sentinelles sont libérées, mais malgré tout les aventures d'Ewilan ne sont pas finies...
Elle va devoir affronter de nouveaux ennemis, plus forts, plus décidés que jamais. Arrivera-t-elle à sauver ces parents et enfin pouvoir vivre la vie qu'elle désire dans ce monde qui est maintenant le sien ?
Heureusement que ces fidèles amis sont là pour elle et pour l'aider !!

J'avais eu un peu de mal avec le tome 2 (dans une trilogie c'est souvent le tome le moins intéressant), mais le tome 3 rattrape un peu la faiblesse du précédent...
Comme je le disais pour le tome 1, je pense que ce roman est une lecture agréable pour les -14 ans...

Enthousiaste après la lecture du premier tome, tout autant après le second mais quelque peu déçue après celle du troisième... Je suis toujours aussi attachée aux personnages que je trouve tendres et drôles mais l'aventure de ce tome m'a semblé trop "facile". En effet, si P.Bottero nous dévoile un peu plus les personnages en tan que tels, l'aventure en elle-même s'essouffle je trouve, moins de dynamisme, !oins de péripéties... Mais bon, cela ne va pas m'empêcher d'aller chercher la trilogie suivante à ma bibliothèque municipale préférée! Je vous l'ai dis, je me suis attachée à cette petite troupe!

J'ai lu ce tome pour terminer la trilogie mais vraiment je n'arrive pas a m'attacher aux personnages, peut être parce qu'ils sont trop nombreux. Ellana paraît fade dans cette trilogie comparée à la sienne. Camille est très jeune dans son comportement et encore une fois tout lui est facile, en quelques secondes nous avons la résolution du problème. Les personnages sont peu travaillés j'ai l'impression.

Après avoir délivré les sentinelles, Camille devra affronter Elea pour trouver er et délivrer ses parents.

En tout cas je ne pense pas lire la deuxième trilogie

J'aime bien lire de la fantasy jeunesse, c'est pourquoi je me suis lancée dans La quête d'Ewilan, dont j'entendais parler depuis longtemps...
Je précise que je fais ici la critique des 3 tomes.
Pour le positif, les descriptions d'un très beau monde, une large place aux sentiments, des personnages plutôt riches même si caricaturaux, une quête bien ficelée.
L'idée de l'Art de dessiner est également très intéressante.
Par contre j'ai failli abandonner la lecture en découvrant le jeune Salim, issu des quartiers, délaissé par sa famille dans son appartement trop petit, entouré de ses dizaines de frères et soeurs...hum, là j'avoue avoir été froissée.
Tous les personnages ont une fâcheuse tendance à la caricature, et les événements s'enchainent parfois bien vite.
Malgré cela, cette quête d'Ewilan reste agréable à suivre, et divertissante.

Dans ce troisième tome, Ewilan et ses amis poursuivent leurs aventures. Et pas des moindres, puisqu'il s'agit d'aller délivrer les parents de celle-ci.Et bien sûr, ils vont rencontrer quelques obstacles, car tout le monde ne partage pas cette idée.

Si j'étais heureuse de retrouver le monde de Gwendalavir ainsi que la troupe aussi disparate qu'attachante, j'avoue que ce troisième volet m'a moins séduit que les précédants.

A présent, Camille commence sérieusement à prendre de l'assurance, et à s'affirmer face aux autres adultes. Me problème, c'est qu'à plusieurs reprises je me suis demandée si c'était de l'assurance ou bien une espèce d'orgueil qui dirigeait ses actes et sentiments. Car la demoiselle laisse poindre en elle une supériorité par rapport aux autres, on voit bien qu'elle s'en rend compte et d'ailleurs n'hésite pas à le faire savoir à quelques occasions. J'ai envie de dire que ce trait de caractère n'est pas rhébiditoire en soi, voir même s'avère intéressant. Plus intéressant que de conserver une gamine au caractère déférent et toujours plein de compassion. C'est juste que j'ai été un peu surprise au début.
Les autres personnages deviennent selon moi de plus en plus attachants. Dans ma chronique du premier tome, je disais que je trouvais ces personnages un peu trop stéréotypés. C'est toujours le cas dans ce troisième, mais dans une proportion moindre. Chacun a sa manière apporte sa contribution à la quête, et devient une place importante du puzzle qui se forme. Même si Salim reste un peu trop à mon goût le « rigolo de service », j'ai trouvé intéressante son évolution, et je suis contente de voir que dans ce troisième tome il prend plus de place que le « super pote un peu lourdeau mais rigolo ».
D'un point de vue général, les personnages me plaisent de plus en plus, et pour cette raison j'ai très envie de les revoir dans la prochaine trilogie de Pierre Bottero : Les mondes d'Ewilan.

Alors pourquoi ce tome m'a moins plus que les autres ? Et bien parce que j'ai trouvé que bien souvent les obstacles étaient franchis avec une facilité déconcertante. Si dans les précédents, j'ai tremblé lorsque le groupe se trouvait en difficulté, ici, j'ai eu à peine le temps de comprendre qu'ils étaient en danger qu'ils avaient déjà rétamé leurs adversaires. Et le fait de ne pas voir les héros douter, être mis à mal et voir leur situation mise en péril, bah moi je trouve ça frustrant. Non pas pas que je sois une sadique dans l'âme, mais bon, si c'est pour les voir franchir chaque difficulté les doigts dans le nez… où est l'intérêt ? du coup, j'ai trouvé que ce troisième tome manquait de piquant par rapport aux deux autres et se complaisait un peu trop dans la facilité.
J'ai également été un peu frustrée par le passage sur l'île de Destin que j'ai trouvée très vite expédiée. Je m'attendais à en savoir plus sur ce lieu, et surtout à ce qu'ils rencontrent plus d'obstacles. Mais non. C'est limite s'ils n'ont pas effectué une promenade de santé.

En outre, il y a un autre point qui reste obscur pour moi : le lien avec la légende de Merlin. J'avais bien sûr fait le rapprochement entre cette quête et la légende Arthurienne, notamment grâce à des noms communs ou alors très similaires, mais j'avoue que je n'ai pas compris en quoi les deux étaient liés. Peut-être aurais-je la réponse dans la prochaine trilogie ?

Malgré ces actions souvent trop faciles et attendues, j'ai passé un bon moment de lecture, et ce sera donc avec plaisir que je lirai la suite des aventures.
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Me voilà enfin arrivée au bout de cette trilogie, mais ce dernier tome a été assez pénible à lire, une bonne partie m'ayant plutôt déçue.
Tout le début est consacré à une fuite en avant dont j'avais du mal à voir le but. le petit groupe d'Ewilan, amputé de Chiam et Artis, partis vivre leur vie de leur côté, mais aussi d'Ellana et Salim, est en route pour rejoindre la Citadelle du nord du pays. Si j'ai très vite regretté l'absence des deux premiers, qui sont sans doute mes personnages préférés, les deux suivants reviennent rapidement avec une excuse assez fallacieuse qui ne sert juste qu'à de nouvelles retrouvailles. Et tout le passage dans cette citadelle ne m'a pas du tout intéressée, si ce n'est pour l'introduction de Siam, qui a l'air d'être plutôt intéressante.
La deuxième partie est un retour dans notre univers et je m'en réjouissais plutôt vu que j'avais beaucoup aimé Akiro. le point positif, c'est qu'on ne s'éternise pas et que c'est agréable d'avoir une réponse à l'adoption du frère et de la soeur, tout le reste m'a fait lever les yeux au ciel devant tant de facilités et de revirements beaucoup trop aisés.

Heureusement, la suite m'a beaucoup plus plu et Akiro arrive avec des pouvoirs assez intéressants.
J'aime bien les voyages et, si le nouveau pouvoir de Salim m'a paru sortir un peu de n'importe où, l'excuse trouvée pour ne pas se transporter plus facilement vers la capitale a finalement bien marché, tout comme l'inclusion des légendes arthuriennes, bien que plutôt saugrenue.
Quant au final, il est rapide mais efficace, il y a des pirates et le combat de dessinateurs marche très bien avec moi tant il revient à la base de ce qu'est la série avec son appel à l'imagination.

Reste que la plupart des personnages, notamment féminins m'auront encore une fois beaucoup trop agacée. C'était déjà le cas avec Ellana, mais Ewilan, que j'appréciais plutôt pas mal jusque là est devenue infecte avec Salim, lui reprochant tout et son contraire à tel point que je n'en pouvais plus d'elle, ce qui est plutôt dommage pour un personnage principal, alors qu'Eléa, la principale opposante, n'a pas de réelles motivations à ce qu'elle fait.
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Curieusement, voilà un tome un peu mou... L'action est bien présente, certes, mais avec une espèce d'indolence assez étrange. Impression renforcée par la conclusion très rapide, expédiée en quelques pages.
Heureusement que l'univers riche et enchanteur continue de tenir la route et de livrer des mystères ! de plus, l'histoire est assez variée (on visite plusieurs contrées de Gwendalavir et Camille et Salim reviennent dans notre univers brièvement).
Malgré tout, ce tome clôt de façon satisfaisante une série de qualité !
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Une histoire qui se bonifie avec le temps, avec un gros potentiel mais qui m'a tout de même (encore une fois) déçue par son côté trop enfantin et surtout la facilité avec laquelle les héros maîtrisent leurs dons et déjouent les obstacles qui se dressent sur leur route. Contente tout de même d'avoir découvert cette trilogie, en espérant que mes prochaines lectures de l'auteur sauront me convaincre un peu plus !
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Dernier tome de la trilogie, l'île du destin nous fait voyager dans de nouvelles contrées et nous fait rencontrer de nouveaux personnages, tels que la soeur d'Edwin ou bien le célèbre et grand dessinateur Merwyn 👀

Malheureusement, des éléments m'ont encore dérangés. Par exemple, le comportement d'Ewilan et de certains camarades envers Salim. le pauvre se fait descendre une fois sur deux...Et on est censé croire à l'amourette entre lui et Ewilan après... Désolée, mais je n'y crois pas du tout. Autant Salim est fou amoureux d'elle, autant Ewilan ne montre aucun signe d'affection envers lui...

Cependant, si on arrive à passer outre ces passages agaçants, on adore découvrir toujours plus le monde et l'univers de Gwendalavir, avec ses créatures et ses paysages. C'est une lecture qui se veut rapide grâce aux chapitres courts, mais surtout grâce à la plume de l'auteur qui est très agréable à lire et belle. Si l'auteur n'écrivait pas aussi bien, j'aurais beaucoup moins aimé cette trilogie en tant qu'adulte. Je me rends compte que l'âge y joue pour beaucoup. Je sens la différence par rapport à quand j'étais adolescente, le ressenti n'est pas le même. La magie que j'ai eue lors de la relecture du premier tome s'est un peu évaporée, mais quoi qu'on en dise, ça reste un super classique pour la littérature jeunesse

Voilà, je viens de finir le troisième volume de la quête d'Ewilan. Et la je me demande si je continue les livres ou pas, entre les deux mon coeur balance.

J'ai adoré l'histoire, je trouve que tout se tient très bien, et très bien écrit, captivant donne envie d'aller à la page suivante.

Je dirais que la faiblesse du livre est que les personnages sont trop puissants, ils passent à travers toutes les épreuves. Ils ont tous des pouvoirs les rendant supérieur au commun des mortelles et les combats me donneraient envie d'éclater de rire à la place de me faire trembler de peur pour eux. Il y a toujours quelque chose qui se passe pour qu'ils sortent vainqueur sans perte. Dommage.

Enfin si je trouve la suite à un prix très raisonnable, peut-être que je lirai, je n'ai pas réellement le temps d'aller en chercher à la bibliothèque et jamais la certitude de pouvoir lire dans le temps imparti