Les mondes d'Ewilan, tome 2 : L'oeil d'Otolep

Dans une trilogie, le 2e tome a souvent la mauvaise place : l'effet de découverte n'est plus là comme avec le 1er et la conclusion de l'histoire doit attendre le suivant. Ici, c'est clairement aussi un tome de transition.
Il ne se passe pas grand chose. On avance au pas avec nos héros en espérant que ça va se décoincer, et ça n'arrive qu'à la fin, pour nous mettre en haleine pour la suite. Bien-sur.
Les relations entre les personnages deviennent aussi plus ambigües et cela m'a parfois dérangée.
Je ne dirais pas que je n'ai pas aimé ce tome, mais je peux quand même dire que je l'ai trouvé long car je me suis un peu ennuyée.
Cependant, c'est avec grand plaisir que je lirai la suite que je rajoute immédiatement dans ma PAL.

LC mensuelle avec Witchblade.

Comme d'habitude je l'ai dévoré, d'autant plus que ça faisait un certain temps que je m'était éloigné de Gwendalavir.

J'ai vraiment adoré la première partie, je pense même qu'il s'agit de mon moment préféré permis toutes les aventures d'Ewilan. On y vois notamment Salim et Ewilan évoluer chacun de leurs côtés avec leurs destinés propres, ils grandissent et apprenne à devenir un être à par entière plutôt que part d'un groupe.

Pour ce qui est de la deuxième partie, j'ai trouvé la première moitié un peu bâclé, comme si l'auteur avait du faire avancer son histoire plus vite que prévu, aller hop en 2 pages on prend les mêmes et on recommence, heureusement, pas plusieurs tours de plumes bien amener la fin de ce tome m'a vraiment plu et j'ai hâte de lire le dénouement de cette trilogie

Retrouvons Ewilan pour la suite de cette trilogie : elle se forme à l'Académie des Dessinateurs de Gwendalavir, pendant que Salim est entraîné à devenir un marcombre. Mais très vite, Ewilan s'aperçoit qu'une monstruosité prend possession de l'Imagination, cette dimension où s'exerce la magie de cet univers. En parallèle, son ennemie Élea reste en embuscade par l'intermédiaire de traîtres, et le jeune Illian donne du fil à retordre.

La plume de l'auteur est certes toujours plaisante, mais c'est un tome de transition qui ne sert pas à grand-chose. Les péripéties sont forcées et intéressantes, les traîtres sont là pour du piquant, mais fort peu crédibles, et les événements s'enchaînent sans grand intérêt.

J'ai déjà écrit sur les défauts du scénario dont l'auteur était un habitué, comme les rebondissements peu logiques ou les deus ex machina. Avec ce tome, j'ai enfin mis le doigt sur quelque chose que j'avais entraperçu auparavant : inventer des imprévus pour meubler les chapitres. le problème est qu'ici, j'ai l'impression que tout le roman est construit avec des événements créés pour combler un vide.

Les seules pages qui ont suscité mon intérêt sont celles qui concernent Ellena, beaucoup moins lisse que les autres personnages, et qui a maille à partir avec les autres marchombres. Notons aussi qu'un personnage secondaire et sa compagne se démarquent, mais l'auteur leur joue un mauvais sort.

Bref.

Heureusement, ça se lit vite.

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Dans un tournoiement de couleurs et de flèches acérées, le tome 2 du Monde d'Ewilan tient toutes ses promesses. Les ingrédients sont les mêmes que dans la trilogie précédentes avec toujours plus de personnages, de lieux mythiques et de créatures enchanteresses. le personne d'Ewilan évolue beaucoup, elle grandit sous nos yeux et devient femme. Un vrai bonheur de lecture dans notre réalité parfois un peu grisaille !

Dans le cadre d'une (re)lecture commune, je prends le temps de rédiger une critique. Et je ne touche pas à la note mise initialement. A la relecture je mettrai sûrement moins mais ce n'est pas bien grave.

Dans la première partie de ce tome, Ewilan et Salim retournent sur les bancs de l'école.

Pour Ewilan c'est une formation « classique », à l'Académie de dessin d'Al-Jeit, on découvre ses nouveaux camarades de classe. Ce n'est pas la partie qui me passionne le plus, le triangle amoureux Ewilan Liven Salim me fait un peu souffler. Mais heureusement il n'y a pas que ça, une menace plane, une grosse créature, ressemblant à une méduse qui envahit les Spires et attaque ceux qui s'y rendent. Aussi, on apprend qu'un traître dans l'équipe de nos héros donne des infos à Eléa ! Mais qui est-ce ?

Une expédition à l'Est, sur le continent que l'on ne connait pas encore, va avoir lieu, pour ramener Illian chez lui à Valingaï.

Salim de son côté continue sa formation auprès d'Ellana. J'aime beaucoup ces chapitres. On apprend des choses sur la Guilde, son fonctionnement, les rivalités internes. Et puis on rencontre Ellundril Chariakin, la marchombre mythique.

Concernant la deuxième partie, je dois avouer que l'intrigue du traitre ne m'a passionné, j'ai trouvé la résolution un peu décevante.

Néanmoins, les évènements de ce tome permettent de préparer le troisième et dernier de cette trilogie : Ahmour et le mendiant.

J'ai beaucoup aimé ce second tome. Les aventures d'Ewilan et de ses amis continuent. Il y a toujours de l'action, des révélations, des rebondissements, de nouveaux personnages. J'aime beaucoup voir l'entraînement de marchombre qu'Ellana dispense à Salim, il progresse de jour en jour. Par contre je n'aime pas du tout le personnage de Liven ... Je le trouve totalement inutile. J'aimerais beaucoup que certaines relations entre les personnages évoluent enfin ! C'est le cas d'Ewilan et Salim et d'Edwin et Ellana. Sinon ça reste toujours addictif et j'ai hâte de découvrir ce qui se cache derrière la mer de Brumes...

Ewilan a repris les cours à l'Académie, on suit son retour à la normalité après ces mois passés à l'institution et au France. Ils préparent une expédition pour ramener Illian chez lui à Valingaï. Pendant les cours à l'Académie, Ewilan et ses amis découvrent une méduse, se répandant dans les spires, et tuant si on s'approche trop. En chemin pour Valingaï, nos aventuriers, se rendent compte qu'un parasite mortel, inoculé par l'institution ronge Ewilan.

Ce tome est définitivement celui que j'aime le moins dans les deux trilogies sur Ewilan. Je la trouve vraiment exécrable dans ce tome. Elle a un côté obstiné égoïste qui m'a fait grincer des dents. le triangle amoureux à mon avis, n'apporte rien et renforce juste mon sentiment d'injustice envers Salim qui est tellement bon envers Ewilan.

C'est un tome de transition vers Valingaï, mais je trouve qu'il y a des éléments qui arrivent un peu comme un cheveu sur la soupe, et ça s'emboîte pas si bien, comme le parasite.

J'étais malgré tout heureuse de voir tous les personnages se retrouver, y a tellement une bonne dynamique, et un côté attendrissant à les voir échanger entre eux. C'est comme retrouver une bande d'amis qu'on n'a pas vu depuis longtemps et qu'on est juste heureux de retrouver.

La Plume de Pierre Bottero est toujours aussi addictive et on se laisse entraîner au fil des pages, et transporter en Gwendalavir. Il arrive à transmettre toute une palette d'émotion, et je passe à chaque fois, du rire aux larmes facilement.


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Ewilan, accompagnée de nos autres protagonistes préférés, part à Valingaï afin de ramener Illian, le petit garçon qu'elle a sauvé de l'Institut, chez lui. Dans sa quête, elle va devoir affronter de nombreux obstacles car les routes ne sont pas sûres : la félonne Éléa est toujours en vie et brûle de se venger, un traître rôde dans l'entourage de la jeune fille, et surtout, une grande menace plane sur les Dessinateurs. En effet, une immense et dangereuse méduse bloque l'accès aux Spires grâce à ses tentacules, elle progresse peu à peu et tue la moindre personne qui se risque à faire un Dessin. Et, si les Spires sont de nouveau bloquées, comment l'Empire sera-t-il défendu en cas d'attaque ?

Et voilà, j'ai fini la lecture du deuxième volume de la trilogie ‘'les Mondes d'Ewilan'' qui est tout aussi bien que les précédents !!
Dans ce tome-ci, on retrouve notre jeune héroïne, qui prend des cours de Dessin à l'Académie d'Al-Jeit, ce qui nous permet d'en apprendre plus sur cet Art. On rencontre aussi Liven, Kamil, Nalio et Ol, des ami.es qu'Ewilan se fait à l'Académie ; ce sont des personnages très secondaires, qui ne sont pas aussi importants qu'Edwin ou qu'Ellana mais ils apportent un peu de diversité et de renouveau à l'histoire.
Quant à Salim, il suit Ellana pour poursuivre son apprentissage afin de devenir un marchombre, ce qui nous permet de découvrir quelques pans de l'histoire de la guilde et de la voie des marchombres, ainsi que la manière dont se passe l'entrainement du jeune homme.
Grâce à ça, Pierre Bottero introduit doucement un nouveau personnage à l'histoire : Ellundril Chariakin. C'est une légende, un modèle, la marchombre que certains envient, que d'autres admirent, la Chevaucheuse de Brumes, qui se joue des lois et principes humains. Au début du livre, elle est considérée comme un idéal, un mythe, mais au fil de notre lecture elle se fait plus concrète, plus présente. Je n'ai pas vraiment d'opinion à son sujet, mis à part un profond respect et une réelle sympathie pour ce personnage.
Illian est toujours présent dans ce tome, il va d'ailleurs être le sujet central du roman, car la quasi totalité de l'histoire tourne autour de la quête pour ramener le jeune garçon chez lui, à Valingaï.
Valingaï, c'est une cité qui se situe de l'autre côté de la mer des Brumes, sur un continent découvert récemment et que personne ne connaît réellement. Au moment où ce livre s'arrête, nos compagnons n'ont pas encore traversé la tumultueuse mer, donc on ne connaît pas encore vraiment cet endroit mais j'ai hâte de le découvrir !!
Pour accompagner notre héroïne dans cette périlleuse expédition, Chiam est de retour, en compagnie d'Erylis qui est elle-aussi une Faël.
J'étais super contente de revoir Chiam, que j'avais adoré lors de la première trilogie ‘'la Quête d'Ewilan''. C'est encore un point fort avec les livres de Pierre Bottero, on s'attache énormément à ses personnages, on les considère rapidement comme indispensables à notre lecture et, les retrouver après une longue absence, procure la même sensation que si on retrouvait notre meilleur.e ami.e qu'on avait pas vu depuis deux ou trois mois !!
Erylis est la compagne de Chiam, elle est dotée d'une beauté quasi surnaturelle et j'avais peur de la trouver un peu prétentieuse ou hautaine. Mais encore une fois, Pierre Bottero se joue et méprise les clichés, la jeune Faël est vite devenue une de mes personnages préférées! Elle est comme une brise de fraicheur, drôle et souriante, libre et indépendante, avec une ironie mordante et une douce gentillesse… Ellana et elle ont rapidement lié une belle amitié.
Artis est lui aussi présent pour cette aventure ; comme tu t'en souviens peut-être, je ne l'avais pas particulièrement apprécié dans la précédente trilogie, il était un peu trop renfermé et timide, on n'arrivait pas vraiment à percevoir son vrai caractère. Mais, ce qui m'a agréablement surprise, c'est de le voir s'ouvrir davantage au fil des pages, il se risque même à faire des blagues !!
Mais reparlons un peu de l'expédition en elle-même et de son but principal. Tout d'abord, j'ai adoré retrouver l'ambiance d'aventure et de voyage qui nous accompagnait lors de ‘'la Quête d'Ewilan'' et qu'on avait perdu lors du premier tome de cette trilogie ! Les soirées près du feu de camps, la découverte de nouveaux lieux magiques et merveilleux dans Gwendalavir (comme l'Oeil d'Otolep) et les liens qui se tissent entre les personnages m'ont absolument séduite !! (Seule l'absence de Bjorn m'a légèrement attristée…).
Il y a, bien sûr, une ombre de danger qui rôde et plane autour de nos protagonistes tout au long de notre lecture : la terrifiante méduse qui envahit les Spires et empêche le Dessin. On ne sait pas d'où elle vient, ni son but mais on va avoir quelques indices au fur et à mesure de notre lecture qui ne peuvent que nous inquiéter encore plus pour l'avenir des personnages…
Bref, au final, c'est (encore une fois !!) un coup de coeur, un livre rempli de personnages avec des personnalités chacune plus agréable et approfondie, du suspense et de l'action à tout va, et surtout une plume et un univers magique !!

Retrouvaille avec Ewilan et ses comparse dans ce deuxième opus, la situation s'améliore, mais finalement pas tant que ça. Ce tome est un peu moins sombre que le premier de la saga, mais on est encore loin du monde tout beau tout rose.

Ce que j'aime par dessus tout avec les livre de Pierre Bottero, c'est l'univers qu'il construit. et ce tome ne déroge toujours pas à la règle, le monde est toujours aussi bien décrit a tel point qu'on pourrait se croire en faire partie.

Grace à ce monde dans lequel je me sens intégré et ces personnages aussi simples et vrais, je me suis encore une fois embarque dans un livre sans pause et pleins de rebondissement qui m'a énormément plu !

En bref, ce tome, comme tout les précédent, fait partie de mes livres chouchou que je prendrai plaisir a lire et relire encore et encore.

J'ai adoré cette histoire, j'ai dévoré tous les tomes, je plonge à chaque fois dans les aventures d'Ewilan avec toujours autant de plaisir.

Ce sont clairement des livres que je relirais bien volontiers en boucle sans jamais me lasser:)

Je recommande sans hésiter cette saga qui est captivante.