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Critique de CENTpour100


Mes cent premières pages d'un livre en cent mots

Moscou, 1924. C'est l'histoire d'un chien. Pas d'une noble race non, pas un seigneur chasseur ou sauveteur. Nan, c'est l'histoire d'un clébard. Un sale cabot. du genre à squatter les poubelles pour survivre et à se prendre des coups de tatane à tire-larigot. Un crevard, jusqu'à sa rencontre avec Philippe Philippovitch, éminent docteur. Alors, on s'fait plus d'bile pour Boule. C'est la grande vie moscovite, le choc des classes. Jusqu'à la greffe. Cette histoire, c'est celle d'un changement, d'un bouleversement. D'une révolution. Entre burlesque et fantastique, on rit avec Mikhaïl Boulgakov des transformations sociétales absurdes jusqu'à l'extrême de l'URSS d'alors.


CENT pour 100 numéro 30

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