" Son père lui avait fait une poupée d'un morceau de bois. Il l'avait fabriquée dans les derniers temps du ghetto. Maria-de-Kielce se souvenait précisément du jour. C'était celui de l'anniversaire de ses treize ans, le premier qu'elle passait hors de la grande maison... Par un inexplicable et miraculeux concours de circonstances, Maria avait pu dissimuler la poupée lors de son arrivée au Camp. Elle la serrait en bourdonnant une comptine étrange : "Un. Maria a peur..... >Voir plus