Quand on était petits

Dans "Quand on était petits", Soledad Bravi égrène avec humour ses souvenirs d'enfance en Espagne et ceux concernant ses filles quand elles étaient enfants.

Peurs, bêtises, accidents, jeux de rôle et d'imagination se succèdent au fil des pages en dessins bichromes.
Si chaque enfance est unique, Soledad Bravi touche aussi à l'universel quand elle évoque les relations fraternelles, le fait de couper un jour ou l'autre les cheveux d'une peluche ou d'une poupée ou de tenter des expériences.

Il y a bien sûr aussi de la nostalgie dans cet album et encore plus dans la dernière page où Soledad Bravi regrette de ne pas avoir plus profité en tant que parent de certains moments ...
Au moins à travers les dessins, elle peut les revivre encore et encore et cela est fort précieux.
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Souvenirs d'enfance dans cet album qui regroupe les bons moments mais aussi les mauvais (qui feront rires plus tard) de "quand on était petits" notamment ces souvenirs qui ont marqué Soledad Bravi. Entre l'Espagne, la France, son enfance ou celle de ses filles, les instantanés sont plein d'humour et de tendresse, nous rappellent nos propres épisodes de franche rigolade entre frères et soeurs.
Une douce nostalgie m'a gagné, j'ai revécu au gré des pages cette tendre enfance qui laisse des traces, l'amusement était bien présent avec les expressions du cru Bravi et son dessin si reconnaissable qui montrent l'essentiel en quelques traits.
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Une collection de souvenirs de l'enfance de Soledad à travers de jolis illustrations.
Malgré l'universalité du thème de l'enfance et de la nostalgie qu'elle peut susciter, je n'ai pas su percevoir la résonnance à mes propres souvenirs et expériences de mon enfance.
Du coup je me suis sentie très détachée de cet ouvrage.

J'ai par contre apprécié les dessins de Soledad avec son coup de crayon reconnaissable entre tous. D'une simplicité dans le dessin ressort une multitude d'expressions qui est transmise sur le papier.

Avec Quand on était petits, Soledad Bravi nous offre une parenthèse nostalgique, un voyage dans son enfance en famille, à Paris et pendant ses vacances en Espagne.

Un récit tendre et humoristique, nourri par ces chroniques autobiographiques, pastilles en bichromie glanées dans sa mémoire, auxquelles viennent s'entrelacer les souvenirs des enfances de ses filles.

Son regard d'autrice donne un écho universel à ces évocations intimes pour, au gré des pages, faire raisonner nos propres enfances.

Je suis plutôt cliente de Soledad Bravi, le minimalisme de son coup de crayon, j'ai donc apprécié cet album lu en une petite heure même si j'y ai peu retrouvé ma propre enfance.

L'illustratrice égrène ses bêtises, parfois très gratinées, ses peurs et celles de ses frères, cousins ou même de ses filles, des petits drames aussi, le tout avec humour, amour et une bonne dose de nostalgie.

Tous ces moments de vie croqués en bichromie tour à tour drôles, tendres ou touchants m'ont fait sourire ou rire, m'ont rappelé des évènements de ma propre enfance, des jeux avec les copains, les copines ou les cousins, comme Soledad le fait pour nous !

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Quelle belle tranche de nostalgie et de rire avec cette bande dessinée de Soledad Bravi ! On se plonge dans les souvenirs de son enfance, des moments drôles et pleins de tendresse, ainsi que dans l'enfance de ses filles qui ont également vécu des aventures en tout genre. Des petits textes pour expliquer de petites histoires, sur un thème à chaque fois bien différent. Les illustrations nous donnent le sourire avec le coup de crayon de l'autrice qu'on apprécie tellement, on tourne les pages sans s'en rendre compte, avec la tristesse d'arriver (déjà) à la fin... On ressort de cette lecture ravi, nostalgique, heureux, avec une envie de continuer encore un peu les bêtises ou de se raconter de bonnes histoires à s'en tordre l'estomac de rire ! Alors n'hésitez plus et découvrez l'enfance de l'autrice et de ses filles à travers des anecdotes touchantes et tordantes !
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Je continue la collection de Soledad Bravi dont j'adore les dessins et l'humour.

Le thème cette fois, l'enfance, les souvenirs. Les bêtises des uns et des autres, on peut tous s'y retrouver.

Ici l'auteure parle de son enfance mais aussi de ses filles, une BD plus personnelle que les autres.

J'y ai prit beaucoup de plaisir à lire.

Avec « Quand on était petits », Soledad nous offre un regard original et intime sur des épisodes inoubliables de son enfance.
Dans ces chroniques autobiographiques, pastilles en bichromie glanées dans sa mémoire auxquelles viennent s'entrelacer les souvenirs des jeunes années de ses filles, l'écriture singulière du récit fait résonner, au gré des pages, nos propres aventures en un écho universel.
Une tendre madeleine concoctée avec amour, à savourer jusqu'à la dernière miette.
Entre la chambre des parents surnommée « La rue de Bagnolet » à cause du Monopoly, les souvenirs de la boîte du petit chimiste, les bouillons, les tours de maison, … de nombreux souvenirs s'emmêlent, avec à la fin du livre le plus tendre d'entre eux, celui des grains de sable coincés entre les doigts de pied.
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Soledad nous offre ici un aperçu personnel de ses souvenirs d'enfance en famille. Chroniques sont tendres, autobiographiques qu'elle complète avec les anecdotes de l'enfance de ses filles. Ses souvenirs sont intimes et lui appartiennent, mais je me suis retrouvée aussi dans ses histoires cocasses faites des joies et des petits drames enfantins.
Elle croque ainsi des moments de vie en bichromie et cela sous un rythme rapide propre à l'enfance où on veut toujours être plus grand qu'on ne l'est ...
J'ai souri, ri aux larmes devant certaines situations et cela m'a replongé dans mon enfance avec ma fratrie et mes cousins-es...
Un beau moment de lecture doux, tendre, drôle et mélancolique à la fois. Et ces dessins sont toujours très justes et fins !