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Critique de lecassin


En ce trente t un décembre, un homme se meurt – Laurent Kreutzer – entouré de trois générations de « proches », dans une propriété du Midi. C'est le fin de l'année, celle du siècle, mais aussi celle du grand pianiste pour qui la prise régulière d'opium soulage les douleurs du corps, à défaut de soulager celles de l'âme. Un huis clos poignant alimenté par d'inévitables querelles familiales…
Un ouvrage sans concession, nostalgique et grave, ou la prose aérienne de Nicolas Bréhal fait merveille. Pour ma part, un de ses meilleurs romans avec « La parleur et le sang ».
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