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Citations sur Mercy Thompson, tome 6 : La marque du fleuve (29)

Les loups-garous ont une déplorable tendance à compliquer les choses.
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Tout changement apporte du bon et du mauvais, qui remplacent le bon et le mauvais du passé. C'est naturel de porter un regard nostalgique sur celui-ci en croyant que c'était mieux avant... Mais ça n'en est pas plus vrai. Différent n'est pas synonyme de pire. C'est juste différent.
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Elle jeta un regard pensif en direction de Bran, en discussion animée avec mon beau-père. Celui-ci était dentiste. Bran était le chef de tous les loups-garous. J'ignorais ce qu'ils pouvaient avoir en commun qui les enthousiasmait autant et, franchement, je ne voulais pas le savoir.
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— Joe s'est toujours un peu considéré comme un héros, tu sais... Pas le genre de héros que je suis, plutôt le genre Luke Skywalker. Le héros qui sauve la princesse et tue les méchants ennemis.
Il contempla le fleuve en contrebas et ajouta, comme s'il venait de faire une autre découverte :
— Peut-être est-ce de là que tu tiens cette tendance ? J'avais toujours pensé que c'était parce que tu avais trop regardé Star Wars, mais peut-être était-ce dans tes gènes ? (Il réfléchit et secoua la tête.) Non. Après tout, je sais bien d'où venaient ces gènes. Je crois vraiment que c'est un excès de Star Wars.
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— Un mariage surprise tel que celui-ci aurait probablement fait des morts. Si tu y as eu droit, c'est parce que maman, Bran et quelques autres se sentaient coupables.
— Coupable ? m'étonnai-je. Il faut une conscience pour ressentir de la culpabilité. Je ne crois pas que maman en ait une.
Nan réprima un éclat de rire.
— Tu n'as peut-être pas tort.
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Personne ne fit de commentaire, mais des que le soleil effleura la ligne d'horizon, leurs vêtements disparurent pour laisser place à des tenues plus adaptées au combat. Comme dans les anciens clans écossais, pour la plupart des tribus amérindiennes, la guerre se faisait quasiment nu, à peu de choses près. Leur apparence devint plus juvénile et les esprits totems qui m accompagnèrent près du fleuve avaient le corps aussi lisse et musclé que n'importe quel loup-garou. Leur peau était en outre revêtue de fourrure ou de plumage, en accord avec leur vraie nature et ils avaient des têtes de bêtes : c'était leur forme réelle, une vision aussi étrange que magnifique, qui me rappelait l aspect des dieux égyptiens.
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Cette histoire me faisait mal au cœur, mais pas d'une mauvaise manière. C'était comme une blessure sur laquelle on aurait versé du désinfectant : ça pique, mais au bout du compte, peut-être la cicatrisation en serait-elle facilitée.
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— Je n’ai qu’un seul escabeau, s’excusa Calvin.
— Ça ira quand même, dit Adam en s’approchant de moi, m’attrapant par les hanches avant de me soulever et de m’installer sur ses épaules.
— Hey ! protestai-je d’un air indigné.
Cela aurait été plus simple s’il m’avait prévenue avant. Là, je dus lutter pour ne pas perdre l’équilibre. Il attendit que je me sois stabilisée, puis me tapota gentiment la cuisse.
— Pas besoin d’escabeau, dit-il en s’approchant d’un des monolithes et en me tendant le briquet. J’ai une Mercy. 
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"Lui apprendre à le faire correctement, pour éviter qu’elle se casse la figure, c’est probablement plus prudent que de lui interdire totalement, ce qui ne sert à rien," avait-il grondé en réponse aux récriminations de ma mère adoptive, Evelyn.
C’était un homme formidable.
Qu’est-ce que j’en avais à faire si un vieil Indien pensait que mon père était Coyote ? Mon vrai père, c’était Bryan, celui qui m’avait élevée. Il avait été présent lorsque j’avais eu besoin de lui, jusqu’à la mort d’Evelyn, dont il avait été incapable de se remettre. Et après cela, j’avais eu Bran. 
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Ce n’était pas le genre de paniers qu’on utilisait au quotidien. La plupart avaient été fabriqués dans le but d’être vendus aux collectionneurs et aux touristes.
Ils me rappelèrent l’une de mes profs d’histoire dont l’un des grands regrets était la perte des objets quotidiens. Chaque musée, expliquait-elle, était rempli de robes de mariée ou de baptême, de tenues de cérémonies indiennes brodées de dents d’élan et de perles qu’on ne portait que dans les occasions les plus exceptionnelles. Les gens ne pensaient pas à conserver la tenue de travail de leur mamie ou les chausses de cuir que leur papy portait pour chasser.
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