C'est avec un mélange de satisfaction et de tristesse que j'ai fini ce douzième tome. C'est le dernier et plus jamais je ne lirai de nouvelles aventures de Garin, ce scribe de grands chemins, si attachant.
J'ai vraiment beaucoup aimé ce tome car notre jeune ami débarque chez un apothicaire, avec tout ce que ça implique : les potions, les herbes, la méconnaissance de la médecine au Moyen-Age.
Heureusement, Garin s'est trouvé un nouvel intérêt : les livres de médecine, qui lui sont utiles et divertissant.
Garin Trousseboeuf a été une belle découverte de mon enfance, que j'ai eu le plaisir de compléter une fois adulte.
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Au-dessus de la ville, les mouettes et les goélands tournaient en piaillant comme des sourds. On se demandait bien comment ils pouvaient gueuler autant et tenir quand même dans le ciel. A ce qu'on prétendait, l'air d'en haut pouvait soutenir les grands oiseaux parce qu'il était plus épais qu'en bas. Etait-ce la vérité?