Edith Bruck a vécu l'horreur des camps durant la seconde guerre mondiale et c'est cette histoire qu'elle a souhaitée nous transmettre ainsi que sa vie après la libération.
Je rejoins quelques-uns d'entre vous sur le manque de repère temporel ou de liens sur certains points de son récit.
J'ai aussi eu du mal à être dans l'empathie alors qu'elle a vécu des choses inhumaines, indignes à frôler la mort plusieurs fois…
Le récit étant court (160 pages) il se lit assez rapidement et permet de ne pas décrocher.
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