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Critique de MagEv
N'ayant pas de résumé sur mon livre et n'ayant pas fait de recherche dessus, je me demandais bien de quoi pouvait parler ce roman avec ce titre « le Chien de minuit ». Et bien, il n'est nullement question de toutou ! le chien de minuit est le concierge d'un immeuble de luxe au coeur de Los Angeles. Et pas n'importe quel concierge, un ancien militaire !
Des SDF squattent les toits des immeubles plutôt que les rues mais ce ne sont pas que des SDF car certains sont aussi des sportifs accomplis qui n'hésitent pas grâce à leurs rollers et des perches à franchir les toits en sautant de l'un à l'autre.
Mais un immeuble reste infranchissable car le Chien de minuit y veille. le saut est impossible mais toute personne qui a eu la chance de réussir à escalader les 40 mètres de hauteur pour parvenir au toit de cet immeuble se retrouve à faire un vol plané dans l'autre sens. On ne plaisante pas avec le chien de minuit !
Mais une chute de trop va faire souffler un vent de vengeance parmi quelques squatteurs.
Cependant, il n'est pas question que de grimpette et de chute mortelle dans ce roman mais également de chute sociale car on suit David qui a perdu son emploi et s'est retrouvé à la rue à vivre dans la peur et la crasse. Une déchéance sociale qui le laisse hébétée et dont il ne sait comment en sortir.
En bref, un roman d'anticipation que j'ai dévoré. D'habitude je ne suis pas friande outre mesure de ce genre littéraire mais ici je suis restée captivée par cette lecture. Elle m'a donnée des sueurs froides, le ton employé et la tension qui monte qui monte en se demandant comment cette histoire va se terminer. Un mot, oppressant !
Par contre, j'aurai bien vu une fin sur une note moins optimiste…
Des SDF squattent les toits des immeubles plutôt que les rues mais ce ne sont pas que des SDF car certains sont aussi des sportifs accomplis qui n'hésitent pas grâce à leurs rollers et des perches à franchir les toits en sautant de l'un à l'autre.
Mais un immeuble reste infranchissable car le Chien de minuit y veille. le saut est impossible mais toute personne qui a eu la chance de réussir à escalader les 40 mètres de hauteur pour parvenir au toit de cet immeuble se retrouve à faire un vol plané dans l'autre sens. On ne plaisante pas avec le chien de minuit !
Mais une chute de trop va faire souffler un vent de vengeance parmi quelques squatteurs.
Cependant, il n'est pas question que de grimpette et de chute mortelle dans ce roman mais également de chute sociale car on suit David qui a perdu son emploi et s'est retrouvé à la rue à vivre dans la peur et la crasse. Une déchéance sociale qui le laisse hébétée et dont il ne sait comment en sortir.
En bref, un roman d'anticipation que j'ai dévoré. D'habitude je ne suis pas friande outre mesure de ce genre littéraire mais ici je suis restée captivée par cette lecture. Elle m'a donnée des sueurs froides, le ton employé et la tension qui monte qui monte en se demandant comment cette histoire va se terminer. Un mot, oppressant !
Par contre, j'aurai bien vu une fin sur une note moins optimiste…
