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Critique de Virgilivres
Cela fait pas mal de temps que je n'avais pas lu Brussolo et c'est avec "Les louvetiers du Roi" que j'ai remis ça.
La première moitié du roman est vraiment basée sur les fameuses peintures "mortelles" de Frédérique Lemât puis la seconde partie glisse plutôt sur son "concurrent" Ikônos.
De ce fait, l'intrigue première s'efface pour une laisser place à quelque chose de tout aussi captivant mais c'est dommage de ne pas avoir continué dans la lancée.
En même temps, c'est tout Brussolo de nous planter un décor, nous laisser croire à une histoire déjà toute faite et au final, de nous faire un dénouement complètement inattendu !
Ce fut un bon moment de lecture, je n'ai pas pu lâcher ce roman avant de l'avoir terminé, pour moi, il vaut bien ses 4 étoiles.
La première moitié du roman est vraiment basée sur les fameuses peintures "mortelles" de Frédérique Lemât puis la seconde partie glisse plutôt sur son "concurrent" Ikônos.
De ce fait, l'intrigue première s'efface pour une laisser place à quelque chose de tout aussi captivant mais c'est dommage de ne pas avoir continué dans la lancée.
En même temps, c'est tout Brussolo de nous planter un décor, nous laisser croire à une histoire déjà toute faite et au final, de nous faire un dénouement complètement inattendu !
Ce fut un bon moment de lecture, je n'ai pas pu lâcher ce roman avant de l'avoir terminé, pour moi, il vaut bien ses 4 étoiles.
