« Pour les quelques génies que nous connaissons, combien de sacrifiés ? Qu’est-ce qui peut bien faire la différence ? Le talent ? Le travail ? La chance ? Probablement un peu des trois. » (p. 26)
« Je commence à comprendre l’exigence de Foued : à ses yeux, son équipe est la meilleure d’Île-de-France, et c’est avec les meilleurs qu’il faut être le plus dur. » (p. 127)
« Grâce à la densité des populations, à la diversité de ses origines et à un tissu de clubs amateurs sans équivalents, l’Île-de-France a la réputation d’être le plus grand vivier de jeunes joueurs au monde, au même titre que la mégalopole Rio – Sao Paulo. » (p. 35)
« Je veux en faire mon métier. Jamais je ne pourrai jouer pour le simple plaisir. » (p. 260)
« En fait, si je ne signe pas, je pense que j’arrêterai le foot. » (p. 203)
« On ne s’émeut pas de la qualité de la pelouse quand on rêve de devenir footballeur professionnel. » (p. 31)
Quoi qu'il en soit, je pris conscience ce jour-là que le football, que j'avais jusqu'ici considéré comme le plus formidable ciment de la cohésion sociale, ne pouvait pas tout.