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Critique de Lechoixdesofie
Parlons enfin de cet extraordinaire roman, qui mérite d'être lu. Ce fut une agréable découverte. Autant pour sa plume qui, avec grand étonnement, est très légère et fluide pour un auteur du fin XIXe, début XXe siècle. Autant pour ses touches d'humour. Autant pour la genèse du personnage culte de Tarzan. Autant pour moult détails.
Tarzan est beau, Tarzan est fort, Tarzan est - très - intelligent, mais Tarzan a dû souffrir pas mal d'épreuves autant physiques que mentales. La jungle ne lui a pas fait de cadeau, si ce n'est que Kala, mère guenon adoptive, qu'il perd finalement trop tôt.
Une affection différente apparaît pour lui dans ce roman, vous verrez. Peut-être dû au fait que son histoire est plus réaliste, plus humaine. C'est bien plus qu'un simple récit d'un enfant sauvage grandissant avec des singes.
Vous n'allez pas rencontrer que ces derniers, mais toute une tripotée d'animaux emblématiques. Un peuple africain aussi - tout aussi cruel que les animaux -. Et des Hommes.
Et vous lirez des scènes bien plus dures que "Il se balance de liane en liane". Brrrr, j'en ai encore des frissons.
Mr Burroughs arrive à vous faire avaler son roman tellement les événements s'enchaînent correctement, sans lenteur. À la fin, une surprise vous attend, apparemment à cette époque les auteurs étaient déjà vicieux. Je n'arrêtais pas de me répéter béatement : "Mais, mais,... Qu'est-ce qui s'est passé?"
Et si, comme je le pressens et comme moi, vous vous êtes attaché à John Clayton III, comte de Greystoke, il vous faudra vous procurer le tome deux.
Je suis consciente que ma chronique est lisse et grossière. À quoi bon en dire plus? L'aventure sauvage est dans cette jungle. Je n'ai pas parlé de Jane? C'est voulu, je préfère que votre rencontre se fasse là-bas. Je souhaite que vous découvriez, avec étonnement, cette histoire originelle enfuie et oubliée sous toutes ces adaptations.
Lien : http://lechoixdesofie.blogsp..
Tarzan est beau, Tarzan est fort, Tarzan est - très - intelligent, mais Tarzan a dû souffrir pas mal d'épreuves autant physiques que mentales. La jungle ne lui a pas fait de cadeau, si ce n'est que Kala, mère guenon adoptive, qu'il perd finalement trop tôt.
Une affection différente apparaît pour lui dans ce roman, vous verrez. Peut-être dû au fait que son histoire est plus réaliste, plus humaine. C'est bien plus qu'un simple récit d'un enfant sauvage grandissant avec des singes.
Vous n'allez pas rencontrer que ces derniers, mais toute une tripotée d'animaux emblématiques. Un peuple africain aussi - tout aussi cruel que les animaux -. Et des Hommes.
Et vous lirez des scènes bien plus dures que "Il se balance de liane en liane". Brrrr, j'en ai encore des frissons.
Mr Burroughs arrive à vous faire avaler son roman tellement les événements s'enchaînent correctement, sans lenteur. À la fin, une surprise vous attend, apparemment à cette époque les auteurs étaient déjà vicieux. Je n'arrêtais pas de me répéter béatement : "Mais, mais,... Qu'est-ce qui s'est passé?"
Et si, comme je le pressens et comme moi, vous vous êtes attaché à John Clayton III, comte de Greystoke, il vous faudra vous procurer le tome deux.
Je suis consciente que ma chronique est lisse et grossière. À quoi bon en dire plus? L'aventure sauvage est dans cette jungle. Je n'ai pas parlé de Jane? C'est voulu, je préfère que votre rencontre se fasse là-bas. Je souhaite que vous découvriez, avec étonnement, cette histoire originelle enfuie et oubliée sous toutes ces adaptations.
Lien : http://lechoixdesofie.blogsp..
