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Critique de Gaphanie
Aïe !
Je crains d'être passée complètement à côté, et de ne retenir de cette lecture que le profond ennui qu'elle m'a infligé !
Giovanni Drogo est affecté au Fort Bastiani à sa sortie de l'école militaire. Et ce qu'il découvre est surréaliste. Tout le monde semble à la fois avoir un peu honte de ce fort qui ne sert à rien - mais chut, faut pas peiner le commandant ! et en même temps, on le met en garde : s'il ne part pas au plus vite, il va se retrouver englué, et devenir comme tant d'autres avant lui persuadé que oui, l'Ennemi finira par venir, prouvant ainsi que ce fort n'est pas si inutile qu'il en a l'air...
Ne lisez pas la suite si vous ne voulez pas connaître la fin ! Notre "héros" va passer trente ans à attendre que ce fameux ennemi se présente, mais, le jour fatidique, il ne sera pas vraiment prêt à l'affronter...
J'ai bien compris que c'est un genre d'allégorie sur la fuite du temps, mais, même si j'ai apprécié le style et l'humour de l'auteur, je me suis beaucoup trop ennuyée pour apprécier à sa juste valeur. J'ai juste l'impression d'avoir perdu mon temps. Enfin, deux heures, pas trente ans, une vie entière, comme le pauvre Giovanni !
Je crains d'être passée complètement à côté, et de ne retenir de cette lecture que le profond ennui qu'elle m'a infligé !
Giovanni Drogo est affecté au Fort Bastiani à sa sortie de l'école militaire. Et ce qu'il découvre est surréaliste. Tout le monde semble à la fois avoir un peu honte de ce fort qui ne sert à rien - mais chut, faut pas peiner le commandant ! et en même temps, on le met en garde : s'il ne part pas au plus vite, il va se retrouver englué, et devenir comme tant d'autres avant lui persuadé que oui, l'Ennemi finira par venir, prouvant ainsi que ce fort n'est pas si inutile qu'il en a l'air...
Ne lisez pas la suite si vous ne voulez pas connaître la fin ! Notre "héros" va passer trente ans à attendre que ce fameux ennemi se présente, mais, le jour fatidique, il ne sera pas vraiment prêt à l'affronter...
J'ai bien compris que c'est un genre d'allégorie sur la fuite du temps, mais, même si j'ai apprécié le style et l'humour de l'auteur, je me suis beaucoup trop ennuyée pour apprécier à sa juste valeur. J'ai juste l'impression d'avoir perdu mon temps. Enfin, deux heures, pas trente ans, une vie entière, comme le pauvre Giovanni !
